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Page:Sue - Arthur, T3, 1845.djvu/203

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sez-moi du moins, madame, jouir d’une si charmante affection.

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Je ne suis ni faible, ni superstitieux, mais je ne pourrais dire la singulière impression que me causa cet enfantillage : j’expliquerai tout à l’heure pourquoi.

Il n’y a pas de moyen terme : ou de pareils incidents sont du dernier ridicule, ou ils agissent puissamment sur certains esprits.

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Heureusement, en venant prier sa femme de noter l’air d’À soixante ans il ne faut pas remettre, etc., M. de Fersen mit un terme à cette scène étrange.

Je remarquai que madame de Fersen ne parla pas à son mari du singulier aveu qu’Irène m’avait fait.

Ce jour-là, après dîner, la princesse se plaignit d’une migraine, et se retira aussitôt chez elle.