Aller au contenu

Page:Sue - Arthur, T3, 1845.djvu/92

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Son esprit est vif, brillant, original ; et pendant longues années il a vécu seul, je ne puis donc être à ses jeux une sorte de bouffon…

Je fus longtemps, je l’avoue, à trouver quel était l’intérêt qui faisait agir Falmouth…

Tout à coup, à force de creuser l’abîme fangeux des plus hideux instincts, une idée infernale me vint à l’esprit.

J’eus un moment d’exécrable triomphe : j’avais deviné

Je crus tout comprendre, tout expliquer par cette étrange, par cette abominable interprétation.

Un horrible vertige me saisit…



CHAPITRE XXXVII.

LE DUEL.


J’écrivis à la hâte les lignes suivantes en réponse à l’admirable lettre de Falmouth.

Je sonnai et je lui envoyai le billet.

.........................

.........................

.........................