Page:TheatreLatin1.djvu/326

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

` LE TRÉSOR , ACTE 1V, SCENE III. 299 Charm. Parce que je suis ce Charmide . parce qui est-ce qui traverse la place en courant? .l'ni que tu as abusé de mon nom , en te disant mon envie de l’observer. Mettons-nous ici aux aguets. messager. , Le S co Ii. Oh! comment! ce serait vous? SCENE HI. y P . . . , C/mrm. M01, OUI, moi-meme. ' ' ¤ I · Le Sycop/z. W ous soutenez que c est vous? STASIME CHABM DE Ut"'"- AS$¤}"€'“°“É· D Stas. (àpart.)Allons, Stasime, hâte-toi, cours Le St/‘°7’h·_‘ °l‘S‘m€m* ·_ _ _ · _d au loezis retrouver tou maître, de peur que tes épau- Ckarm- M°l"“êm° · tc dlS`J° · Jî Sms Charml °· les ne soient victimes de ta maladresse". Double le _ Le 5`ycoph. En pt‘0p1’8p€\‘SfJ¤¤6· d d t pas, avance". Il y a longtemps qllê ill HS Ch‘""”· Parfaitement m°1· Sms C wm mes quitté la maison. Prends garde que les coups d‘etri- YUV- _ _ Z V _ t vières ne résonnent sur ton dos, si tu nc réponds _ Left/¤¤P'»·<»r9f11;;1}#e1· ·) v_ <·¤St¤r¤v¤z wp pas à l’appe1 de ton maître. Cours sans Yarrêter. Bard ( L “]°nl“'T‘à· GS mon Èâfî ~ c2 °° Èem MF; Quel pauvre homme tu es, Stasime! avoir oublié ton ` °“tîia“”* cî U;) “Su°“‘(;°““x “ 1 ES ( mm vous °' anneau au cabaret! En revanche, tu n’as point ou- ronth ODDCÈI 3 É1Sî0¤¤P1 6- D blié le vin chaud. Retourne bien vite réclamer Pan- . S . - C m"" bu '}‘_°“ maêiever I d_ _ neau, pendant qu’il en est encore temps. Le S€"·°P ; J “}°m° m mât · Qu'? ÈS Èeuî “L';,S Clzarm. (à part.) Je ne sais pas qui c`est; mais , a . . · . · · · °xm'm'“_°“t-,P}‘*S'l“° VOUÉ Cf ‘“"`“*`_S li} e se ce ne peut etre qu un maitre d exercices. ll ensei- Vous seriez deja mort, que je m en SOUCIETZIIS comme gue la course _ ’ ` ’ 5 gg g . l . . deg celaS.l.·J ai recu die l aïâèllî FÉV? mûlî `mlîs Sêâî 5m;, (g part,) Quoi! vaurien , n’as-tu pas dg 1 . x · ' - · · . -1) ulzu ue": îïïêîî cri _c‘:,;n ng mf] Oœwumé honte! pouravoir bu trois coups , perdre amsila mé· V r ql _v É , ed Psngl ms t Ã`} ‘ ° 1 _ moire! 'Pimauines-tu n`av0ir bu qu’avec d’honnêtes s | 1 · ‘ . . Q I-gdm qu"? a Emu S wml? * pong g€l1S, incapables demettre la mam sur le bien d‘au- a _ · r v · · · · , app se ae 1 tm 3 iam? mu, q , tflll? Therucus en etait, ainsi que Cerconxcus , Crin- peste te serre et tetouffe! Maudit Charmide, qui . . . . . arrives i m l ` ro os iss t les dieux t’é nus ’ (lemobulux (Nimbus ’ les 0cuhcœp1deS’ les cmœv S a a P P * pu en Crurierépides, les Ferritères , les Mastigiens : (1) ' . . . . . . voilà la com aeniel Ett · · · u C/zarm. Le voila part1;_|e puis maintenant par- · P ° . .u wu ~路~>¤~ee1>=·a¤¤· . , . . . . Mais le moins adroit d entre eux volerait au c0u· ler en toute liberte. Je SUIS inquiet de savolr pour- _ _ . . A . . , . . . . reur le plus leste, au milieu meme de la course la quot 1l etait ainsi devant ma maison. Cettelettre me Semelle de ses souliers l ’ tourmente Pesprit, ainsi que ses rouleaux d`or. Une . _ · ' . . . . . . . , . . . . Char m.. (a part.) Pardxeul voila un fripou qui Cloche ne sonne Jamais d elle-meme; a m0lDS qu on A d _ _ no la frappe ou qu’on ne la remue elle se tait Mais commu Sqn mou °' ( ml ’ l t ’ L ` d 1 Sms. (a part.) Pourquoi faire d'inutiles recher- I Ilülûfl IIIIY C IIE! (IUE les Ill} Clll'5 CIICOIJPHIED quan BG ` ' . ' * laisaient attendre? Charmlde ne parait que Iorsqac Puctlou est ches? F6 Serait ajouter un nou" E] mmm a ma perm- engegee; il semble en retard; de la cette menace du Sycophantc. NG VOIS-ill [JRS qtlê l Hlllleâtti est perdu pour tou- (Y) On célébrntt sans doute en ce moment la tète de Cyhèie, épo- que ou les édlles irlauguralent leur magistrature. (x) Noms d’esetavcs. Dormitator, priusquam ego heic tejuheo muleari male? Luhet observnre quid agat : lxuc conoesscro. Syc. Quamobrem? Charm. Qula iltum quem ementitus cs, ego sum ipsus Cliarrnides, SCENÀ TIÃRTIA . Quem tibi epistolas dedisse albas. Syc. Eho! quœso au tu is es? 4 _ STASIMUS, CHARMIDES. Charm, ls enimvero sum. Syc. Ain' tu tandem , is lpsusne es? I CM,-m_ Ma 5y,,_ ipws es? Sms. Stasime, fac te propere celerem , recipe le ad domiuum IpSUS. ÃUQURUD Chnrmldcs sum. Syc. Ergo ipsusnces? Clim-m, UUYDUIII : gai, gpsîswmue W5 Ne subilo malus cxoriatur scapulis stultitia tua. ' Abi hinc nl) nculis. Syr. Enimvero sero quunlnm adtenîs, Add'? gîüdüm y âdP1‘0lJ€|'¤ Q Iünltlüdtlm I¤ctt\m`St, quon: ahisti Vapulabis mee nrbitratu et novorum œdinium. domo. Cham. At elium malediois? Syc. lmo, salvos quandoqnldem Qave. SiS · lîbî, HG buhuli in te cottabî crebri crepem , advenis, Su ahieris ab hcri quœstione; ne destîleris currere. Di le perdant; etsi floecifacio, an periisses prius. Eœe homincm Ie, Stastme, nihilil satin` in thermopolio 090 Ego on mme operam argentum ndcepi; le maolo iufortunio. C0¤dëlîu¤1 es vblîlus. poslquam thermopotustigutturem? Cœterum qui sis, qui DOII sis, tloecum non IlII·C1'|.IUl|l'l· 970 R€ClP€ tft`, Bl l‘€CIH‘1‘3 pêlcre re reœnli. Charm. Hale, qui5· Ibn ad îllum, renuntiabo qui mihi treis numos dedit, quis est , Ut sciat se perdidisse : ego alien; mele vive et vale. Cnrculiu ’st excrcilor; is huuc homtnem cursnram docet. Quoi] M ic ommgjs gdvgnignigm pgrggm pgpçiauti Charm;- Stns. Quid, homo nihili, non pndet te? tribusne te poteriis des! Memoria esse oblitum? an vero, quia cum frugi homini- Charm. Postquem ille hinc abiit,postloquendiIil1ere 075 _ bus _ _ pg;, Videtur tempus vgniggg, gique obcnsio. Ill! blhlfiîl , Qui àl) âlîenû facile cohihercn! manus? Inmdudum meum ine peclus pungit aculeus, Th0l’¤Ch\1¤ fuit. Cerconicus, Crinnus, Cercobulus, Coll;- Quid illî negoti fuerit ante œdeis meas. bus , Nam epistola illa mihi concenturiat metum Ocnlicrepidze , Cruricrepidze, Ferrllcrl , Mastlgiœ. ln corde, et iltud mille numum quam rem aget. 350 Inter eosne homincs condaltum te redipisci twstulas , Nunquam , edepol , tr-mere tinniit tintinnabulum : Quorum eorum nous subrlpull currenti eursori solum? Ill!)0 Nisi qui iltud tractat, aut movet, mutum’st, tacet. · Charm. Ita me di ament, graphicum fureur ! Sms. Quid eg0,_ Sed quis hic est, qui liuc in plelcam curâtlram incipit`? _ qnod periit, pelaim 7