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ACTE SECOND

AC T hl D . onne. Tant qiie vous avez de l’argent, anneznous , _ quand vous n en aurez plus, clierchez fortune ail- SCENE ]_ leurs. Votre bourse està sec; cédez de bonne grâce · la place a ceux qui Font bien garnie. Parlez—moi ASTAPHIE, seule. d’un amant qui abandonne ses affaires pour nous, ,. . . . . . etse ruine!Lesl 1 1 ·’ ii All! Hlll [J3}? Ceres, je respire! celui quajg gymgmis procédés et nm;) Ãî¤âl§lâ|$€î£§ê t df; detnqs est entré icl Me wml Seule PDM! le puis à présent cependant à nous reprocher? Peut [dn ’anials dou -1 S parler en liberté, et dire tout ce qu’il me plaira. Ma t — 11 · · F, ’ J . nm? . , , . . rop a ce e qu on aime. Nous ne deutandonsjainars maitresse a enterre peu a peu le patrimoine de ce ga- · · · , . . , , rien de trop. Un amant qui ne donne rien n est plus Iam; ses d°mam€s’ sa maison sont htvethesee pour nous qu’un cham stérile Quand il dit "l pour le dîner de Famour. Ma maîtrcsselui demande « 1 · , d ql; ,7 . . r qu X librement des conseils· il ne peut plus lui donner na P us Umd Onnm 1 am qu llsemslgne nlmsscr . ’. . . ’ l. 1 ` ` 1 ’ que ses reed ·* ses- ·* deem ce que =·~·=·1¤ Élêîlil ÉSÈÈÈSÈW °ÈÃ.Ãlv’Ã`Ã..É"· lÈÉȧÉ.ilSÃÈ‘È.“îa’l‘L“ . . . 1 . . nous l’avonsa notre tour: en revanche 11a ce que cl I d, t 1 , 1 . . . nous avions, la misère. Ainsi va le monde; la for-

mc 18 au rçsgû an S P U? gcnel-CuK’ qui nous Ou` . . . . . . vrent et nous ]1\’l‘CI`ll des tresors nouveaux. Tel est,

tune change vite , et la vie est pleine de vicissitudes. , . . par exemple, ce Jeune canipapard qui demeure ici Nous 1 avons vu riche; 1l nous Il vues pauvres: les près Ualmamg mortel, Queue grâce il mt en d A , . . · · . | _ - roles sont retournes 2 bien sot qui s’en étonnerait! , · · . en ,. . ,. . . , ,. nant. Il a escalade, cette nuit, les murs du Jardin S11 vit danslindigence, xlfaut quil nous permette , · I , l·· . * . , _ . pour venir c rez nous a insu dc son pere, Il faut que de [mm mmm chem ’ cm est tout Mwœl ce Sam faille le trouver · mais il ai un esclave sinvulièreawiit une duperie quede nous appitoyer sur le sort des dis- ·b · ` · · ° ’ 1 î . . . . . . . rutal zdes que le coquin apercoit une de nos lilles stpatcurs. Une courttsane qui sait son metier doit · · 2 . . . r pres de la maison de son maitre, il les chasse a être pourvue de bonnes dents , sourire a tout venant, grmds cris com ne des Oies qui Serment entrée . , . 1. r I , etdire des douceurs; mediter au fond du cœur quel- dans son glfemm, à Mé west un vmî mme J; que ¤e·¤<l*;~ et vredîqetlss vgm =~lm¤·*>*·=S· Ups un néanmoins r.—..,.,m— él ti pau, quoi qua pile., ’ ti. i ’ `. l’ ’ ` · l · . . i ` mv Fmg 0 tmssem Emldu, [MSDN Epl"eS’6 E arriver. (Appelant d mie zsozx douce) Ou est le par- doit piquer tout homme qu1 sapproche d elle. Un tm dqcî, a t il ucl u,uD à la mison Q . . , . ~ - 1 . galant ne paye-t-il plus, elle doit, sans ecouter ses Y q q raisons , lui donner son congé comme E1 un mauvais SCÈNE ]]_ ` soldat. Le véritable amz1nt,c’estceluîqui est l’ennemi delatmôme ct de son bien. Cest peu davoir donné, STRATILAX , A51jAp¤,g]5,_ il faut être toujours pret a le faire. Le véritable, le parfait amant, c’est celui qui donne et oublie qu’il a

Stmfil. Qui va la ? qui assiège ainsi notre porte ?


ACTUS Nugîeâpqtaïmtîisi quod modo quom dederit, dare jam Is amatur heic apud nos, qui, quod dedit îdobIitu’stdatum . SCENA PRIMA’ Dum habeat, tum nmet; ubi nihil habeat alium uicstum I q ASTAPHIUM. E cœpiat. p • TN h b t H h b t d __ __ __ A a`m1scstm1aca,alis ‘ ,~ Ha, ha, ha, eocre! quievi, qula iatroivit odiumn tandem qultàcugï O° D 1 qui a en Lt Sete §“m· _ _ 205 Probus est amalor, qui relictis rebns rem perdit wam,. NUM ¢l¤;dl*;mb_:"€° "Dlllmu lüllüilf hb"’! (Ilm velem vt At nas male agere praadicant viri solere secum, 230 lluœ ’J ° I · N : , ` l 1 ’ t · une homîni mais mu emma im aim nœnmm de °"f,‘§§’,,‘§î*°‘ ““’“ “‘““° "‘"“ "“‘“"‘° ‘°"‘g““"‘ °" bmllâî A , ‘ Nam, ccastor, nunquam satis dedît suse quisquam amical Nam fundi et a.·deis obligatœ sont ob amoris praodium : amatm.; ‘°“’“ . . N l, ti d i n e ulla satî 1, mia nunc mu. hm eoaniia suinma eloquilur libere; N§§§‘îlg,f,’§d0§,’}B,§,‘§,f,§‘§ ,f§’,§ffg,,’§"j,,,,’ ,,,p,f,,§’,‘}§?[î“‘ Adœmeîëèîtlllêîîînrius ML amiens est quam auxwarîu 210 Si negat sedhaherc quod det, soli perqoâzlandumistb *.233 , ` , , · ’ S’ Nec sans a cipimus satîs quom quo et, non a et. Dumbsliârt, dedit : nunc mlnl habet; quod habebat, nos ha- Sempm. dames novbs Uporm qimmœ, s· . . . .’ , _ 0 1 d·tli sauris 1t·¤ is demunt danunt. iste ?|l!:C ldbabet , quod nos hahuimue ; humgmum facmug vîtutîlîc ’;gmS"S"€;t·=;’dmpscmspqui mc haben ac em S ’ . N’ i , l, mo1·ta|i· lepidus nimisque probus dator. Mo Actutum forldnœ soient mutarier; varia vita ’st. 5,;%:, mn, p_·g(pg,lt];;m muc mmm utac NM dlvllëm wm m€ml"lm“S· Niue MÈ P““l‘”’É$ ms- Per hortum lranslllvit ad nos, eum volo convenire. Vortcmnt sese niemoriœ. Slultns sil, qui 1d admiretur. 2!z> Sud est hum mms Sams vtoiemismmus ’ ài eget, ireîesse ’st nqs patiâtur ali ; ita iequom Iuctqm ’st. Qui. um qunmque nüstrarum ,,;,1,,; prope mm imm, ,,2,.,, lâûlllllm S , H|l5Cl’!!!.‘ HDS Olllltllllïl I.‘P|. IIIEIIB QUEEU ULB. _ Bonls asse uportet deutibus lœnam pruham; aiirîdoro, mm îëlâè 1-mmww “Sm.“_ cmmoœ ,,bSm.œt_ abmip M5 Qlmlluls Veum · m“’l‘l°q°“ ‘“"°‘l“l; ¤u*<=¤<>t<1•=_¤¤=1¤¤l¢¤·r<=· ls item est agrestis : sed foreis , quldquid est futurum , fe- Bene loqui Iingua. Meretricem esse similcm sentis condeoet, mm Queqiqugm hqmineni zultigerit pt·0l`0C\0 llllî mâllml fill! Ecqulghuic|jul(g]5[|)j;1[ll1œgCl’ll[?8()(]L\lSlillllâ exit? tamnum an. L-! ` Nunquam amaloris meretrlccm oportet causant gnoscere, SCENA SluCUNl)A. Quliàà niliil det, pro iaircqaenia eum mittas mllitia S,[,RATlLAX‘ ASTAPMUM Éco unquam quisqoam prohus crit amalor, nisi qui roi Swan. Quis illic est , qui Iam proterve nostras aideis azlo inlmicu‘st suœ. I tal?