Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol15.djvu/375

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que le matin. — Tu n’es pas fâché, Stiva ? Je t’en prie, ne m’en veuille pas ; et, en souriant, il lui prit la main.

— Mais non, pas du tout, il n’y a pas de quoi. Je suis heureux que nous nous soyons expliqués. Et tu sais, la chasse du matin est magnifique. Ne ferions-nous pas bien d’y partir ? Je ne dormirai pas et j’irai tout droit de la chasse à la gare.

— Très bien.