Aller au contenu

Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol28.djvu/400

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

maman dit qu’il n’est pas convenable. Il n’est pas plus inconvenant qu’une robe de bal. (À Féodor Ivanovitch.) L’homme de chez Bourdier est-il ici ?

FÉODOR IVANOVITCH

Oui, mademoiselle, il est à la cuisine.

LA DAME

Et l’Aréna ?

BETSY

Vous verrez cela ; je ne veux pas vous gâter le plaisir. Au revoir.

LA DAME

Adieu. (Ils se saluent, la dame sort.)

betsy, à Coco.

Allons chez maman. (Betsy et Coco montent l’escalier.)



Scène VII

FÉODOR IVANOVITCH, LES DEUX VALETS DE PIED. IAKOV, sortant de l’office avec un plateau chargé de thé et de petits-fours. Il traverse l’antichambre tout essoufflé.

Iakov, aux valets de pied, puis à Féodor Ivanovitch.

Bonjour, bonjour ! (Les valets le saluent.) Vous devriez dire à Grigori Mikhaïlovitch de m’aider un peu ; je n’en peux plus. (Il sort.)



Scène VIII

Les Mêmes, moins IAKOV

LE FREMIER VALET DE PIED

En voilà un qui se donne du mal !