Page:Tolstoï - Hadji Mourad et autres contes.djvu/367

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Ce qu’il accomplissait, c’était non pour lui, mais pour le salut du peuple. Des pensées sur la maison, sur la mère, jaillissaient aussi, mais elles étaient si peu en accord avec ce qui se passait ici qu’elles disparaissaient aussitôt.

Au poste, on l’enferma dans une cellule, et, à midi, on le transféra à la grande prison, où on le laissa seul.