Page:Tolstoï - Hadji Mourad et autres contes.djvu/99

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

et ses yeux s’injectèrent de sang. — Saisi de frayeur, je m’enfuis…

— Ah ! ah ! fit Loris Melikoff. Moi qui pensais que tu n’avais jamais eu peur de rien !

— Dans la suite jamais. Depuis, je me rappelle toujours cette honte, et quand je me la rappelle, je n’ai plus peur de rien.