Page:Tolstoï - La Sonate à Kreutzer trad Halpérine.djvu/94

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

des paroles, des explications, des larmes ; parfois, j’y songe avec dégoût, après les propos les plus amers, c’étaient des regards, des sourires et des baisers. Horreur ! comment ai-je pu ne pas m’apercevoir de ces hontes ?