Page:Tolstoï - Plaisirs vicieux.djvu/244

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vaillais. Je ne me suis jamais aperçu que le tabac me fût nuisible et, par un bénéfice de nature, quand je ne me porte pas bien, l’odeur même d’une cigarette me devient odieuse.

Est-ce tout ? Ai-je répondu à ce que vous vouliez ? Je l’espère et me tiens dans tous les cas à votre disposition.

Alphonse Daudet.