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VINGT ET UNIÈME JOURNÉE.


Dès l’aube, toute la famille Gimbert est debout qui s’efforce de nous préparer un déjeuner au café ; mais, faute de notions sur l’objet, elle s’y embrouille, s’y entortille, et finalement invoque notre aide. Le déjeuner alors ne tarde pas à éclore ; mais si la pommade abonde à Grasse, le beurre y est rare et le lait, par malheur, y est jasminé un peu. Après le repas, M. Gimbert, gros ourson frotté d’ail et rempli d’amicale bon-