Page:Toulmouche - Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la ville de Rennes.djvu/154

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On décoaTnt béaDCOi4> andessiu àe ces sables, une lame de dague profondéoient ébrechée, et brisëe dans sa soie. Il est probable que, rompue en frappant sur quelque corps résistant tel qs’iine armure, elle »era tombée dans les fossés. Elle poorait aT«ir 66 cèntlmètrcà et demie avec lemaocbe. Elle était no peu arquée, anaît le tranchant ds cMé concave conïme celui des yâtagbànS arabes et, toit une’eiix, elleaTait ane.fortearél^snr le dos. Des cle& des’ formes déjà représentées, ta l’on en excepte One pouvant remonter an inre siècle, et qui en o&ait one particiilière indiquée dans la fig. 15 de la pl. XI.

Un fer d’arbfdëtte, peut^tre de ceox qit^n nommait viretonê, assez élégant et petit (Fig. 5 de la pl. IX).

Un moule de aonitetJes en scbisCe ardoise.

Un autre de la inâme pierre, actneUemept en la possé8sion d9H Moet de la Forte-Haison, et qui peut remonteir ati xir’ tiède, fl était destipé. h fabriquer un sujet de pîAé. -Gelo’ gravé sur cette [ûêrre (Fig. 4 de la pl. VI) était le combat de saint Georges, l« chevalier chrétien, contre IC dragon ! On remarquait, en antre, : plusieurs épisodes secobdaires.Ainait on ange lançant im homme (une ftme) vers, le cidl ; one* balancé oii sont pesées deux tètes (deax ftmés). Tune l’emporte sur l’antreet bit descendre le plateau qui la contient ; le démon avec ses attxibots ordinaires, les cornes, la’ quelle, le pied fonrchu, et anne d’an croc, s’^orce de &ire redescendre l’Âme qui lui échappe^’ il j est aidé par nn coq. Etait-ce une allnaion à saisit Pierre ?- Tout porté k le croire, car aucune antre nrisoD n’exidiqueràit la présence daeet tuseàn ; ’v ce n’est toutefois la croyance pii Poh était alors, et bh Ton est. encore aDJonrd’hoi ;dans quelques parties de Ia Bassè-Bratagae, qne le Coq est l’emMime da mal. Seolement^il resterait k décider si elle aurait tiré sonorigine de cette fignre, plaçant le coq dans le platean de la balance du mid pour le foire pencher, on si an contraire l’artiste aurait voulu ri^réaenter dans cdleci une tradition tpn avait diéjh cours avant cette époque. Le dragon que saint Georges combat est d’un de8«in et d’pne verve d’exécution qui eontrastent avec la raideur des posés et la barbarie de traits i^’on remarque dans le saint et les scènes secondaires. Le saint Geoi^e&est rérétn d’une armure complète, sa tête seule est nue ; son éca triangulaire, porte ium