Page:Toulmouche - Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la ville de Rennes.djvu/164

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Tespacç occopé par l’aBCKo débàrcaii^ sito^* <ut face des magmâM de l’Octroi, n’amoKl ancones décoarartes BODVeUes.Sealeinent, on-remarqda, Tersl’eKtréiDité.de’fo.ctdée nord dn’|>£ntvçt asseEprofondéineiA, la base d’uoe tour qui devait étre^biea ànctoone, poisqa’ellë s’est oârqoée sur aocnodeaplaoa connns de la TiUé de Heâoes. Itëst’probi^ïleqà’ttr^Joqae où Tirait Herin il n’ea était’ resté aucsn sODVenir, piiisqa^ ’ne l’a nnllemeot indiqnée-. Qn tronra d’abpM en Ërensadt,Dne "première couobe de terre mêlée de lirîqQeâ, de débi^ noircis ; de cetidtes, qol- paraissait provenir d’an- redibtài déjà ancien, opéré Ji l’époque de l’iaeendie’de Bennes, en 1720. ^a niûiea de ces terres, hù rËncontrâ quelques (nècee de monnaies, telles i^e’dooblés tournois ’de Henri iv, de Lonb xiii, des liants de Louis xiv, de Louis xv, de diyers princes dw’EamUles de GcHiti, de Bonillott, et une monnaie d’un antre de Rhetel (1612) : D^ois’ que : les -fossés de-la ville’ avaient été. comblés «cet imdroit ; une p’artîe-de’(^ terrain paraissait avoir été destiné à servir de sépidtfire à un nombre fort restreint de personnes, pêutTétre à quelque^ desservahs de l’bdpîtal ’Sàint-Vves. Ou*, cet ho^iCe avait été defaervî depnis sa fondatitm parùii ordre’ reUgieox, et les maiibres de cçdwoier avaient bien pu’^ônsacrer’ii leur iàhnmatioD-UQe partie du terrain qui leur appartenait. Outre,’ que lé «hiffi’e des cadavres- n’excédait pas* ceint de vingt vin^-^inq, et que pamii eux on ne renlarquâit ^uconé difi%rënc6 détaille ce qm aurait indébitablement eu lien, â ces sépultures «isseat appartenu h une paroisse. On’ peut ajouter, que dàds les civetièrea séculiers fouillés pour exécutet. des travaux, on a presque toujdiirs rencontré quelques : monnaies pins Oii moins ’précieuses, conune eeia est arrivé’ derni ^edienf, ’ en creusant au-devant de la nouvelle catiiédraîo’de notre Ville, oh Ton a. trouvé, dans la bouche d’un -squelette, ubë ’pièce d’or de Jean le Bon, roi de France (1)^ tJtndis qufe*rieà.de semblU>le ne fut’ observé au voisinage de ^aint-YvM.

Cette assértioû qui apparttmt k M. tîodefroy’Jouanft, «embferaitcoiiTf^ firmée par cè que l’on^ voit sur un plan delà ville df Rennes, levé par Forestier l’alné,’ après llaceudie de -1720. ’Ba éEEei’, on j conâtafe.qne l’emplacement occupé sur le port Saint-Yves par les anciens magasku de

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  1. H. le général d’utillerié, baron de toaro«vuiw > eA’ posseneur de eeltè piëce.