Page:Toulmouche - Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la ville de Rennes.djvu/233

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|daoe d« la PtHcpe, et Te^iMe corrcmioBdaBt de cette ’doroiàre, ob, ta &tee de la ne do FaoïnlfrChapitTe, die coapait la voie de yttltflUMfw, et dâtoocbaU dau eeU« d’Ateuna (AUeaume, jïrè» d« Valognea), kiqudl» devait rairre eniuite la rne de te Hiterie appelée àctaelknieiit de Montfort, eoDftcff lOngitBdinalcpwBt J ;eitiàuté Sad do sraad bout de Cabttt {H bis de la pl. XV) doot la ^ace moderoe de ’Saîitt<-Saave«r ece«^. nae petite partie, parcourir le reste de s^ioagaeiM uir laqaeUe on a bâti, d^nù, tout le e6t^ Bat de la mie de Clieson, pois la rue Saint^Hiebel aq)oard’liiii Rallier,, et eofto «ortir par la porte Chastelière (1) dite Sûnt-Hiclid (13 de la pl. XV) ; pe«t^, alors, cette denàire étaiirelle appelée du nom d’Àlauna.

Dans la seconde, la voie de Coadivicntun (Nantes), ’après avoir paasé à Làillé, daa» la partie de la eoMmaoe de Rna pea ékngiiée de la roate actaeUe de Nantes par Bain, ensuite à l’Est de l’Arsenal, traversé an Sud une portioa des terrains occupât par les oaaisons du Cbamp-Dolent, devait arriva- en bce de l’ancien abreuvoir de Saiat-Y7â9 oit Hevin place, dans SOD plan, la porte Aivière {Aqintria) (22 bi$ dt là pl. XV). AjH-ès avoir fr^lû la rivière, elle devait pénétrer pac cette entrée dam CM» doM, passer devant le portatt de l’iiftpital et celui de la chapelle Saiat^Yves (23 de la pl. XV), snivre la rue des Laoriers, en. empiétant vers le haut sur les maisons de son cAté Est, continiier ii travers celles rëpoodant aoa D** 20 et 18 de la rue da Fon^la-Chapitre, où elle venait ctoisot les veies de Juliomagui et de Foryantuar et rencontrer cd|« d’Aiavna. Cette de»qu’an latOon 1811, purnitedeSMlUciUtioiudelt mire Entenic. {Scir M mmm » t§ ui* far M. Maillet, baii9théealreatla9iatd4jtimut.} -

(1) Porte ChHlelièr»(de«a(teUiim,cité on pUoe forlifiéa). Elle avail élé aiiMi ooiqmee, parce qu’elle voisiniit ou faisait partie d’un endroit dëfeo^u, que 1m Bomiiu, comina je le prouverai un peu plus tard, désigoaieul par eattellum. Ausii, ces noms de ehatUl, ehâtUUi, efuutelUr, dit H. Biaenl,- aniMneeDt-ils loujoura des enceintes fortiGëei, et ^es voies eu étaient souvent avoisinëes. Ces dénieras, dams l’Annoriqse, province H ékùgnëe’de la capitale de renpira, te eoDstrotsaieot, dit-il, comme nos roiÂcs aetnelies avec la syalime de Hac-Adua, qai o’est qu’une nùtatioD delà maaière.de faire des fioMains, avec Fexeeptioii, lonlefois, que m* demien, saof quelque* courbes frï»-donoes et tria-tarammrtat roëa ag^, suivaient preaque toujours la lifne droite. {lUmotn i«r f wrip ut FoM RomainniuPHUm, par Jf- #iuaf, ISM.)