Page:Toulmouche - Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la ville de Rennes.djvu/237

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TOiM I imniMiH pu rapport à ocUe-ei, k en Andïer les fra^eiifl qoc le hwvd Brait po &ir« décooTrir dau bob TOisiBage ei dus le département, la direcMons qu’elles prenaient en sortant de la cité, la matàèn dent ettes- se reliaient entr’elles, i’ai d4 efaerohcr è en dooner on aperça el k mettre sra^ la voie de leur paroonrs dans Mtre coetrée. Les docomeas qde je Tais bin comiattre, poisés en partie k des sooree* certai-Ms, ’et rindicati<M positive cte qnelqaW-QDetf de ees roMlnqai existent encore d’noe manière reconnaissable, pourront devoir debonsmatériam, et permettre à d’aolres obsemdears de eombler les nt^ireoscs lacnoes ^e cet essai imparfait poom p-ésenter.

Mais avant d’ol&lr, comme lignes d’^étndes on simples indications, d’après les BOtiens si rares -qa* j’ai po,me procnrer et le trèa-prtit nombre de relevés qae j’u pa faire par moi-même, la disposition qae j’&i cm devoir donner aux voies qni arrivaient h Rennes’oa en partaient, et la direction qne je leur al fait «nvre k travov le département d’IUe^-Vilaine, qa’oo me permette- d’empranter an savant mtooire de M. de la Sfraneraye, ancien capitaine d’état-major, membre do conseil fénéral du Morbihan, In k la section d’arobëolo^ du congrès de J’ Association bretonne, à Nantes, aa mois d’août t84ô, et dontmiepartie a déji été publiée, page 1 !}3 et’ snivantes, dans l’Histoire du MorbUkUm H de h$ Monument.. par M. Cayot de I.aadre, les détails si intéressans war les Voies romaiaes qn’il 7 a donnés. J’aorai de la sorte mi appoi ponr la ticbe diffiiùle qne j’entreprends et ane excnse pour les résaltaU si imparEiiuts auitpiels je sais arrivé, et qne le seul bnt tfétrentâe m’engage ^publier.

Il existe dans nos annales bretonMs, dit cet observatenr, nne lacune 

qne les travaox historiques modernes n’ont pn ccnnbler ; Oud fat l’état de notre pays pendantroccupationde’taGnale parles Romains ? Tel est le problème qœ les historiens anciens n’ont tenté d’éclairer qne par des tipiculations dénuées de preaves et que les modernes ont résoin de façons Bonvent oontradîct<rires. Il importe donc d’opposer des investigations méthodiques aax difficottés très-grandes qni environnait l’étude de la période d’occupation de la Bretagne par ces compiérans, et de forc« l’archéologie k nons dire le mot qne nons refose l’histoire.

A]H^ ^e César ent sonmis la 6aide, la poUlifpie des premiers empM’enrs dnt tendre k consofido k jamais cette coaqo^ : Peur atteindre