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Page:Tremblay - Arômes du terroir, 1918.djvu/18

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Le lac


Simple goutte d’azur tombée au sein des fleurs,
Le lac arrondissait l’orbe de son rivage
Autour du frais taillis de son bosquet sauvage,
Où venaient pérorer tous les oiseaux hâbleurs.

Le granit se perdait sous les roses rustiques.
Une zone viride et vive de bluet
Marquait le rendez-vous où la flore affluait,
Pour chanter en parfums ses sublimes cantiques.