Page:Vadé - Œuvres de Vadé, précédées d'une notice sur la vie et les oeuvres de Vadé - 1875.djvu/246

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Il m’a fait une brèche
Qu’en vaut ben rail,
D’puis ç’temps-là j’endure
Un chien d’mal qui redoubo cncor ;
Faut qu’j’aie la vie dure
Pour n’en êtr’pas mort.

Air : Buvons à nous quatre.
Une marinière,
D’un p’tit air malin,
Pour ahider son dessein,
Comm’ça, par darrière,
Li poussait la main.

Air : Par un beau jour de Pentecôte.
Avec tout ça, ma parsonnière
N’sait pas mon amiquié d’ardeur.

Fanchonnette.

Oubliez-la, c’est la magnère
D’avoir pus d’bonheur que d’malheur.

Jérosme

Oh ! quand on a vu les attraits d’ses appas, on a beau
vouloir l’oublier.

vouloir l’oublier. Refrain.
vouloir l’oublier. Ça n’se peut pas. (bis.)

Fanchonnette.

Air : Tarare, ponpon.
Selon l’goût d’vot’façon, alle est don ben gentille ?

Jérosme

Gentille comme un cœur ; all’a les yeux si doux,
Qu’drès qupn la voit, z’on grille
D’être son cher époux.