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Page:Varlet - La Grande Panne, 1930.djvu/16

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II
AURORE LESCURE

Pourquoi montai-je dans la petite torpédo du Dr Alburtin pour retourner à Cassis, pourquoi fis-je astucieusement en sorte que Mme de Ricourt prît place avec Luce dans la turbo, sur la promesse de Géo qu’il ne dépassait pas le 30 à l’heure ? Ma rancune latente du jugement dédaigneux porté par Luce sur l’astronaute américaine dut provoquer ma détermination, et aussi le sentiment subconscient d’être plus en sympathie avec Alburtin, et le secret espoir de continuer l’entretien sur la Fusée.