Page:Verhaeren - La Guirlande des dunes, 1907.djvu/49

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Et telle était la peur dont le village
Tremblait, devant ce maigre Christ sauvage,
Qu’aux jours de kermesse et de fête,
On lui voilait, avec effroi, la tête,
Pour qu’il ne vît jamais la joie ardente et rouge,
Couples noués, bondir de bouge en bouge.