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LE SECRET DE WILHELM STORITZ.
Il eût juré qu’on lui avait tiré ou poussé les pieds.

montée sur pieds de cuivre, un canapé, un fauteuil de gros velours, et deux chaises. Pas de rideaux au lit, pas de rideaux aux fenêtres, un mobilier, on le voit, réduit au strict nécessaire. Aucun papier, ni sur la cheminée, ni sur une petite table ronde placée dans un angle. La couverture était encore défaite à cette heure matinale, mais que le lit eût été occupé pendant la nuit, nous ne pouvions que le supposer.