Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/195

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’ un vxnocç. 191

— » Je n’en ai pas. ’

— » C’est égal, j’ai ma clé dans mon mouu choir..... Ah ! ils vont voir beau bruit. Il me semble que je sentais ça ce matin, trois valets dans mes cartes. ’

— » Écoute, o’est pas tout que des.ehoux... ça ne serait pas le plan de te montrer s’ils n’y n sont pas. T’as confiance en moi, laisse-moi faire : je monterai d’aborcl ; si je reste, tu - » sauras ce que ça veut dire, c’est que j’aurais n trouvé les oiseaux.

»’ (Yest ça ! c’est pas bête ; il Faut être sur avant de faire du renaud (du tapage). » Nousarrivons rue du Bon-Puits, j’entre ; après m’être assuré que Bicêtre est au gîte, e rejours Emilie, . dont le vin et la jalousie avaient achevé de troubler la cervelle.

Regarde, si ce n’est pas jouer de malheur ! ils viennent de partir avec Bieëtreet sa femme pour aller souper chez Linois ; ·je me suis in=· formée où, on- n’a pas pu me le dire. — » P’têtne bien qu’ils n’ont’pas voulu ; mais c’est rien, c’est rien ; je.sa-is ousque loge ’ » Linois ; c’est ches sa mère. Tu m’accompa= ? ’ gneras ; tu l’iras demander pour rien brûler. (quion ne se doute de rien