Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/198

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’dernier était avec Émüie Tdquet, et qu’il pas serait la nuit, ou chez la Bariole, ou chez la · Blondin, qui était aussi en possession d’héberger les amours. « Merci, ma petite, dit aussitôt la fille 11 Simonet à la consœur qui nous donnait cette 11 précieuse indication. C’est bien ça, poursui-11 vit-elle, Bicêtre est avec sa femme, Linoîs et 11 Caffin sont avec la leur, Hotot est avec Féli-11 cité, chacun sa chacune : le scélérat il aura 11 ma vie ou j’aurai la sienne ; ça m’est égal de 11 mourir (grinçant les dents et s’arrachant les ’ 11 cheveux) ; Jules, m’abandonne pas, Hut que Yi je les tue, mon ami, faut que je les tue ! 11 Pendant cette rage de vengeance, nous ne laissions pas de gagner du terrain ; enfin nous voici 1 au coin de la rue des Arcîs. « Qué que t’as donc, I il Mélie P 11 articule une voix rauque, qui sem= ble s’échapper par un soupirail. A la lueur du réverbère, je distingue’une femme accroupie, u dans la posture quia fait imaginer cette estampe : Nécessité n’a. pas de loi. Elle se lève et s’approche de nous : « (]’est la petüe M adelon, s’écrie I i 11 Émilie. I p

— 11 Ah ! ma grosse, ne me pale pas, je suis il t’en révolution : t’as pas vu Caffin’, à ce soir ? — 11 ’Calilin, que tu dis ?