Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/158

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sont dans ta peau ! riposte un chanüonnierz t’arrêteras-tu, vieille houle à panaches ? » et il s’élance à la tète ·des chevaux, qu’il retient d’un bras vigoureux, tandis que d ?autres pas-¤ sauts, accourus au-bruit de cette scène, retirent ’de dessous Iasroue une femme baignée dans son sang. I ·

Cependant douairière jette Feu et flamme contre ’- les ·misérables qui rosent ainsi interrompre sa course". Elle tarrivena trop tard au comité des secours.... ; Cela nia pas de hon sens..... la séance sera commencée..... Il n’y a plus, dans Paris’, de sûreté pour les honnêtes gens... la circulation est entravée. «-Landau, faites votre devoir, chàtiez-moi tous ces insolents... Mais, Landau, vous ne m’écoutez

pas . me faire perdre un tem ps précieux, pour ’ »= qui ? ’pour une ! espèce, pour une ivrogne. »- Madame la comtesse voit bien que je ne puis pas avancer. i— Dites à mon chasseur qu’il prennele numérodela médaille de cet homme, ni je porterai mès plaintes la police ; je le ferai pourrir dans les prisons. ·Conduisez-moi de ce papas-chez le ministre.· »’A’cette menace, le charbonnier terrifié abandonne les rênes, et la yoiture de madame la comtesse, rapide comme