Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/178

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lambmu qui les abrite. « Où allous-nous poser ça ? demande l’un des soldats.

— » Donnez, donnez », répond Frédéric, en leur arrachant des mains un pain dans lequel il mord aussitôt ; œ Matin ! il-a-une soif épaisse, le camarade : allons-, mesdames, levez-vous ;, nous vous apportons des vivres ; dis-donc, Parisien, partage-leur donc cette ration : astu un couteau’ ?

Lm-PAmsu :1<. » ht-ce que nous avons de ça, nous autres ? » ° ’

Après avoir rompu le pain, il s’approche de lfune des femmes, et la prenant par le bras : Eh- bien ! ètes-vous morte ? » Elle se tourne de son côté ; —·—·«·C’est toi ! Ah mon douxilésust »i Puis apercevant le morceau, elle s’en saisit etle dévore.

Susanne, qu’Adèle a appelée, se soulève sans lui répondre ; et après avoir considéré la lumière avec un sourire à faire frissonner, elle étend les ° bI’3$ » 2 « HS 80111 ; beau ! lsèàanges l—··.. Vois-tu, ma n sœur, ils- ne m’ont. pas-trompée...C’œtàsdële ! · u elle est avec eux ! Yen veux manger une aile ! Je savais bien qu’ils me prieraient de la noce 1 Elle est toute. en blanc !.. Elle a le chapeau un Non, monsieur, je ne danse pas, après le