Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/21

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mineur et-le pistil d’une visitandine, sans trop d’efl·’orts, cela se conçoit. Mais bien que les voleurs pullulent, et s’entre-fécondent, bien que, suivant le précepte, ils croissent et multiplient ne plus ne moins que les plantes et les animaux, comme ce n’est pas là ce qui les distingue essentiellement, j’ai dû renoncer à la méthode de ’ Linné, et me résoudre à consigner purement et simplement mes remarques, sans m’inquiéter s’il y.au rait plus dl avantages à les coordonner bien savamment, en adaptant aux individus qui en font le sujet, les dénominations plus récentes de la zoologie.- ·. ·

Peut-être en méditant le traité des monstruœ süés de M. Geoffroy Saint-·Hilaire, serais-je arrivé à calquer la marche de mon travail sur celle du sien, mais l’analogie entre les monstruosités dont nous nous occupons l’un et l’autre, ne ·m ?a pas paru· assez frappante pour que je prisse la peine de le consulter. ’D’ailleurs, qui oserait affirmenque le penchant au vol soit une anomalie ? et tout en accordant, qu’il,8612 urgent de le réprimer, c’est encorépune question de savoir.si ·ce n’est pas-un instinct, Ce.n’est-pas tout, lezmoral et le physique ne sïemlpoîtent pas toujours zquand si celui-ci est droit, celui-là est