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CHAPITRE LX.

Le mois trop tôt — Visile aux bienfaiteurs. - Ils sont partis. —·· Les voitures de deuil. - Les habitués des funérailles. -·— Les - apostrophes. -·—Les laquais. - La chapelle ardente. — On doit la vérité aux morts. — Le chef des comparses. — La plaine des Vertus. — Le tambour bat. — Atroœs railleries. — Une bagarre. · - Uexcouummié. — L Dieu. ! c’est lui. —·~ Est-ne une vision ?’ Les vanités de l’impie. — Le tamtam. — Les deux battants.-Le clergé. — Les coins du poëte. — La grande iigure reparaît.-Haine au monde. N ’

’. I

Ce mois s’écoula trop vite, il expira avant la morte-saison. La société, a près avoir en vain battu le pavé pour solliciter de l’ouvrage, se Vit (le nouveau menacée par la famine ; on était à la fin (ie mars : « Trente et un, jour sans pain, misère en Prusse » telles furent les premières paroles que le serrurier proféra ·à $011 réveil.