Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/221

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un vxnocq. ui,

n —«- On appelle ça un don, c’est une restitution ; il ne leur en donnera jamais autant qu’il leur en a pris. — En a-t-il· volé, dans sa vie ? en a-t-il mis à la mendicité ? et dur ’ »’··qu’il était ; il vous aurait’vu tendre la langue l.ongue d’une aune. Si ·tous les malheureux qu’il a faits étaient à son convoi, il en au-. rait d’ici à Pontoise ! ·— C’est encore celui-là · qui était une vraie girouette : tantôt rouge, tantôt blanc ; — (Yest de ces caméléons qui— empruntent toutes les couleurs, · qui servent, dieu et diable, et les trahissent tous deux.si On dit qu’il a refusé un confesseur ·: "c’était »· pourtant un’cagot. 4- Cagotl c’était pour »· mieux jouer son rôle ; mais il sentait sa fin ve-. I nir, et comme il n’avait plus besoinde feindre, il a jeté le masque. — J’espère qu’il en a fait, de ca s faux serments. 4- Si l’autre était. resté, ou aurait cependant mis ça au Panthéon. p — Oui, mais s’il était revenu. — Oh ! on ne ’ l’aurait pas fait pair. — J’en réponds. —ça on’n’empêchera pas de prononcer sur sa tombe un ’ discours, qu’il 11, % aura rien de si beau.-Tous mensonges, je gage qu’on y va ntera sa iidéfité. -· Et sur Pinscription, c’est là. qu’on. en lira des gosses l le marbre est comme le papier,