Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/232

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ne nimoœnns n, ’est pas exister, que de vivre comme nous Riisons". Il me restait quarante sous ;- je les tenais cachés... J’avais mon idée pour oela... Le moment est venu... Voilà l’usage’que j’en ai fait... A Snssmm. » Du charbon... Au lieu d’acheter du pain. ’AnJ:LE. » Du painl... N’est-ce pas que cela aurait été loin ?... Non, mes. amis, je’suis lasse de la vie... Si vous êtes comme moi, je sais bien ce que nous ferons. F1u€: nÉ1uc. » Et que ferons-nous ? r ADELE. » Nous allumerons ici un brasier. Sosnmn. » Et puis... il AnÉLE. » Quand il sera bien ardent". Nous fermerons les portes, nous boucherons toutes les issues, et nous le’porterons au milieu de la chambre’. - ’ A HENMETTE (pleurant  » Eh quoi ! tu veux \ » que nous nous périssions..., SUZANNE, » Nous nous verrions mourir ! FRÉDÉRIC. » N’allez-vous pas’pleurnicher, vous autres P... Mameselle Adèle a raison.-Il n’y a que ça, vous me icroirez si vous voulez, mam’selle, j’ai eu cent fois la pensée de vous le proposer ; mais je vous ai toujours