Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/242

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en’nùxornns SUSÀ.NNE· D C’est assez de nous..... Quatre D personnes I ça ne se voit pas souvent ; il en D sera fait mention dans les papiers. FBÉDÉRIC. D Ils mettront cela dans le journal ? ADELE. D ça fera parler de nous dans Paris ; ’ D c’est toujours une consolation. ]·lE1~uuE·r-rE. D Et puis ça servira peut-être à D des autres ;... qui est-ce qui sait ? ADELE. D Tous les charbons sont ardents. SUSANNE D On rôtirait un bœuf. C’est donc D %aujourd’hui notre dernier jour ! ADELE. D Ah çal ce n’est pas tout... Vous ne · D faites pas attention, on peut nous apercevoir D d’en face ; si nous appliquions la couverture D.contre la croisée ? FKÉDÉRIC. D C’est inutile, il n’y a que les maçons ; ils sont sur le comble, c’est si haut ! D d’ailleurs’je crois que c’est l’heure de leur D repas ; et d’ici au retour.... HENRIETTE. D Ce sera une affaire faite. Il fau-D· drait peut-être boucher la cheminée ? ’ ADELE. D C’est juste. HENRIETTE (y appliquant la couverture D Frédéric, je te demande une grâce ! FRÉDÉRIC. D Laquelle ? q HENRIETTE (soulevant un chenet de fonte).