Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/281

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’ · nn’VIDQGQ. p · S75 · Hnuniurrn. » Elle ne peut tarder., .· ’Est-·ce u que ce serait elle, par hasard, qui ferait tout gs ce tapage ? I ’ ’ ’ Fiuênéiuc. » Je ne crois pas, à moins qu’elle ne nous amène la famille. ’ ’ ’ Sussimn. » Elle est assez folle pour cela.... Henriette vas donc voir. ’ ’ HENRlETTE’.  » Ce serait curieux. » (Elle traverse lachamhre en courant et se heurte contre. la table.) - ’ Susanne. « L’étourdiel elle ai renversé la un saliërel... i ’ ’ HENRIETTB » C’est bon, j’en jeterai par-dessus mon épaule. » (Elle va jusqu’au corridor et revient saisie d’épouvante 4) « Mes amis, nous $OmmB$ ’pCI’d\1Sl » · Aussitôt la chambre est envahie par un essaim de gendarmes et- de mouchards, ayant à leur tète un commissaire. u Au nom de la loi, dit le magistrat, je vous somme de nous donner toutes vos clés. Gendarmes, pendant que je vais procéder à la perquisition, veillez sur cet homme et sur ces deux femmes, vous- m’en répondez. UN Bmoanmn. » Il suffit, ils ne s’échapgs peront pas. À I Tom : 1v. · ’ 18