Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/280

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an nilotlxl ’ Henmnrrm. » ·C’est égal} j’en veux avoir, de l’argenterie, ça ne nuit pas dans un ménage (elle va s’asseoir sur les genoux ele Frédéric) ; nous en aurons, n’est-ce pasi ? c’est si gentil A » (elle Yembrasse) l voudrais—·tu’ mort.à’pré·· · sent ?... t Faunâmc. » Ma foinon. Hunmsrrs. » Que le charbon a bien Exit de »’ne pas nous tuer !. t Susanne. » Je serais bien fàchée de ne plus être de ce monde ! c’est ce qui nous prouve que quelque malheureux que l’on soit, on ne. p  » doit jamais se détruire. » Henxuztvre. » San les maçons, sansee plâtras qui est tombé si à propos, les vers nous rongeraient pourtant. Fauuâmc. » Ne pourrions nous pas avoir une autre conversation ? ce qui est passé est passé, ’ » il- ne Iautplusy songer. Sussnne. » Oui, parlons d’autre chose ;.... vive l’allégresse lu ·. I F !tÉnÉmc. » ·l’ai un appétit d’enfer. Hunamrru à Et moi, il n’y aura pas besoin de me prier, je m’en° acquitterai bien. Susanne. » Si Aclèle arrivait, nous commencerions. l -