Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/394

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IIS IÉINIII ’

u Poreille du rustre. Uobligeant lecteur, quieàt le troisième afiidé, n’a pas manqué de s’appesantir sur le nombre qu’exp1·iment les chiffres : on -le remercie de sa complaisance et· l’on s’éloigne. Maintenant il s’agit de prendre une-détermination au sujet du bijou : le rendr&·rts-onP @:1 foi non ; s’il appartenait ’à un pauvre diable, àïla bonne heure ; maisqui peut achetended si ce n’est un richard ?.. ;.É Et pour un riçhard qu’est-ce que deux milles sept cent ·vingt-cinq francs ? une bagatelle qu’ila le moyen de perdre.... Puisqu’on ne rendra pas, il est évident que Sl’on gardera.... c’est-·à-·dire qu’on réalisera en espèces..... Mais où réaliser ? chez-un bijoutier ? le propriétaire de la bague a peut-être déjà fait cire ’culer des avis ; et puis, il est des hijoutierssi ridicules ! Ce qu’il y a de mieux à faire —c’est de ne vendre que dans quelque temps. 4... Be rustre comprend parfaitement toutes ces raisons..’. S’il y avait possibilité, on ·partag-ernit siur-·lechamp, —et l’on se quitterait bons amis.... Mais le partage est impossible, et pourtant chacun a besoin, d’aller à ses affaires. Véritablementla situa=· tion commence à devenir inquiétante ;’ ·de part et L d’a-u¢, re on se frotte le front pour avoir des idées. I ce Si j’avais de l’argent, dit le -ramastique, je