Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/60

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"  » fiacre qui les emmènera à Paris : vous con-· ’ » vient-il de les prendre dans le fiacreil — » Dans la fiacre, ies, ies, por proudeincem Le duc de Modène, son auxiliaire le père Martin, et les deux insulaires, se mirent en faction pour être à Yaffût A du départ. Pendant qu’on était ainsi aux aguets, M. Becoot lit mille questions et réflexions plus saugrenues les unes que les autres. Enfin, vers les deux heures de l’aprës-midi’un Hacrc s’arrête à la porte : au bout d’un instant, il s’ouvre pour recevoir madame Becoot et son cavalier. On croirait qu’à cette vue, M. Becoot n’aurait plus été le maître de contenir son indignation ; il ne sourcilla pas : les maris anglais sont étonnants : « Vo ’ » voyez, dit - il à son frère, vo voyez, mon l’ame avec son hamant. ’

— » Oui, oui, jé voyé..... Il était dans lé Voitoure. »

On étai t’averti que le (iacre se dirigerait sur la rue Feydeau. Les Anglais ordonnèrent à leur. cocher de fouetter, afin de gagner les devant, et quand ils furent à hauteur de la porte Saint-Denis, à l’endroit ou une montée conduit au boulevard Bonne- Nouvelle, ils mirent pied-à terre. Bientôt ils aperçoivent le liacre ; il va