Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/89

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ni vtiocç. ix ; u

Les journées les plus productives ; phur les cambrioleurs sont ces beaux dimanches de l’été, durant lesquels la population laborieuse de Paris va-: g-oûter à la s barrièreùlest plaisirs de la campagne. Les ; cambrioleurs ; serbnt.ré »=îi duits aux’abois aussitôt qu’on- le ·| voudra. que les personnes qui habitent.unei maison saqs : ’ portier, ne s’absentent plus sans laisser quel.qu’un au logis ; que ; les : locataires renoncent, d enfin à un fatal système d’isolemeni2 qui "niest favorable qu’aux malfaiteurs ; qu’ils se regardent comme des cointéressés, et que levoisin veillé ’ 2 pour le voisin ; que tout étranger : qui entre, sort ; monte ou descend, soit tenu pour suspect, pressé de s’expliquer ; sur le. motif de sa présenoè ;. et s’il montre la moindrehésitatiosù ; reteàu j-us¤Ã qu’à ce qu’on ait. acquis ; la certitude qu’aucunZ vol n’a été commis ; que tout locataire à. aqui : l’apparition d’un inconnu a inspiré de..la dés, fiance, avertisse sur-le-chaynp les a\1t.rcs.loca-. taires, aün qu’ils se tiennent sur leurs gardes ; que celui cliez qui-l’on atsonné. Olll frappé ; pour demander un nom en l’air, ne se contente plus de 1·eferme1 ;’sa porte avec ·m&U·VQ&lSB hurneur,5 qu’il suive desyeux le demandeur ; et ne le perde pas de vue avant de s’être-assuré-qu’il est sortie ; Tous xv. - 6