non-seulement sur la classification des Mammifères, mais sur l’application des principes de la méthode naturelle à la zoologie. Voyez les Chap. II, p. 68, et X, p. 328.
Mém. de l’Acad. des sc., XII, 181 ; 1833 ; extrait partiel, Gaz. médic., II, 261 ; 1831.
Dans ce Mémoire, lu à l’Académie en juillet 1831, l’auteur traite de la détermination zoologique des dents antérieures, non-seulement chez les Rongeurs, sujet principal du Mémoire, mais aussi chez le Tarsier et l’Aye-aye, chez les Cheiroptères, chez les Insectivores et chez quelques Pachydermes.
a. Primates.
Décade philosophique, IV, 193 ; 1795.
Malgré ce titre, ce n’est pas un extrait, mais le Mémoire lui-même, moins le préambule qui a été supprimé à l’impression, et est resté inédit. Nous avons retrouvé ce préambule, qui offre un véritable intérêt et par son sujet (voy. p. 42 et 131), et parce que le Mémoire sur l’Aye-aye est le début de l’auteur dans la science.
Bulletin des sciences par la société philomathique, 1re partie, 89′ ; 1795.
En commun avec Cuvier.
Mag. encycl., 1re année, III, 147 ; 1795.
En commun avec Cuvier.
Ibid., 451 ; 1795 ; et Journal de physique, XLVI, 185 ; 1798.
Voyez p. 70. — Ce travail tout entier est relatif à la classification des Singes, et non à l’histoire naturelle des Orangs, à laquelle devait être consacrée la seconde partie du Mémoire. Cette seconde partie n’a jamais paru, du moins sous cette forme.
La classification des Singes, adoptée par Cuvier et Geoffroy Saint-Hilaire dans ce Mémoire, est principalement fondée sur la considération de l’angle facial.