Page:Vielé-Griffin - Le Domaine royal, 1923.djvu/43

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Où les reflets mouvants font un lacis d’opale ; Et moi, qui contemplais cela, témoin joyeux De la survie impérissable de tes dieux, Hellade, et de la grâce vive des déesses, J’ai lu l’Ordre promis et béni les promesses Encloses dans le flanc du marbre et de la chair Et la Beauté, Seigneur, dont palpitait tout l’air, Vers mes yeux envahis, par elle, de Ta grâce, Sourdait du clair sourire éternel de Ta Face.