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billevesées, incapables non-seulement de me racheter de cette horrible forme intellectuelle, — presque diabolique — mais de me donner un seul instant de stable espérance ! C’est pourquoi je redoute ce vestiaire qu’on appelle la Mort. C’est pourquoi je ne suis pas tranquille, vous dis-je !… Non, je me connais trop pour l’être jamais !
Une heure sonna. Je me levai ; j’étais un peu remis de mon attaque nerveuse ; Lenoir ayant, cette fois, été par trop excessif, ayant dépassé en un mot, le but, à force de l’exagérer. Décidément je trouvais de plus en plus ineptes ses lubies superficielles.
— Nous reprendrons cet entretien, fis-je, en souriant.
— Oui, dit-il, préoccupé et toujours un peu sombre.
Et, tirant de sa poche une petite édition