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CHAPITRE III
EXPLICATIONS SURÉROGATOIRES
« Ce qui voit, en nos yeux, veille et se cache en deçà du fond de nos prunelles d’argile. »
Lysiane d’Aubelleyne.
Je me couchai à la hâte. Mon hamac, balancé par le tangage, berçait mes réflexions dans l’obscurité : je m’accoudai.
C’était précisément chez les Lenoir que je me proposais de m’arrêter une quinzaine, à mon débarquement. Une lettre datée de Jersey les avait prévenus ; ils devaient m’attendre.