Page:Villiers de L’Isle-Adam, Premières poésies, 1893.djvu/34

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


X


Oh ! quand pourrai-je voir cette grève, où, naguère,
Des poissons argentés l’écaille de lumière
Scintillait sur le sable..., — et ce pays vermeil
Où chantent les oiseaux, — où le tigre des jungles
Sous les bambous rougis, dort, en rentrant ses ongles
Dans sa patte lascive étendue au soleil !