Aller au contenu

Page:Villiers de L’Isle-Adam - Derniers Contes, 1909.djvu/304

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pantoufles, assis dans mon fauteuil et enveloppé dans ma paisible robe de chambre, je rouvrais mes livres de métaphysique allemande, me trouvant l’esprit suffisamment reposé pour remettre, à une époque indéfinie, tous projets de nouvelles incursions récréatives à travers les « contingences du Monde-phénoménal. »