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XIII


« Ne sentez-vous point une odeur tenace d’encre d’imprimerie ? » demanda San Giovanni, les narines dilatées.

Le couchant ocellé entrait par les fenêtres de son cabinet d’étude.

« Sans doute, » acquiesçai-je. « N’est-ce point là le plus subtil encens qui puisse flatter une Divinité littéraire ?…

— Taisez-vous, » interrompit San Giovanni. « J’ai la nausée de tout ce qui s’exprime en vers ou en prose.

— Moi aussi, » sourit ma Prêtresse.