Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1904.djvu/93

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
91
UNE FEMME M’APPARUT…

Nous étions tristes comme le crépuscule, et, comme lui, nous redoutions le néant de la nuit… Jamais je n’ai connu d’heure plus poignante que cette heure accablée et fraternelle.