Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome32.djvu/89

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ACTE IV, SCÈNE II.

��s<;l;\ e VI.

��Vers 2 Je vole à son secours,

Et vais forcer le sort à prendre un autre cours.

Persée qui va forcer le sort à prendre un nuire cours n'est |>ns le Perséc de Quinault.

ACTE TROISIÈME.

SCÈNE I.

Vers 1 1 . Affreuse image du trépas....

Que l'on vous conçoit mal quand on vous envisage Avec un peu d'éloiguemenf !

On doit remarquer un défaut que Corneille n'a pu éviter dans aucune de ses pièces de théâtre, c'est de faire parler le poète à la place du personnage, c'est de mettre en froids raisonnements, en maxime générale, ce qui doit être en sentiment : défaut dans lequel Piacine n'est jamais tombé.

SCÈNE II.

Vers 17. Chacun préférèrent le portrait au modèle,

Et bientôt l'univers n'adoreroit plus qu'elle.

Voilà encore un des grands défauts de Corneille; il cherche des pensées, des traits d'esprit, et, qui pis est, d'un esprit faux, quand il ne faut exprimer que la douleur. Cassiope découvre d'où provient tant de haine, c'est de jalousie ; et Clytemnestre dans Iphigènie ne s'exprime pas ainsi.

Mais, malgré ce défaut, il y a des moments de chaleur dans le discours de Cassiope. On remarquera seulement qu'Andromède enchaînée sur son rocher, et sur le point d'être dévorée, n'est pas en état de faire la conversation.

��ACTE QUATRIÈME.

SCÈNE II.

Vers 34. Peut-être il ne lui faut qu'un soupir et deux larmes Pour dissiper, etc.

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