Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome6.djvu/485

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VARIAMES r>U DÉPOSITAIRE. 475

Page 402, vers 10 :

M\0\, à M. Garant. Vous régissez si bien leur petite finance, . Que les pauvres bientôt seront dans l’abondance.

Page 406, vers 3 :

M. GARANT, à Ninon.

J’ai d’honnêtes desseins que je vous confierai : Vous êtes éclairée, avisée, et discrète, etc.

Page 413, dernier vers :

Vos propos indécents comme votre conduite Me font pitié, etc.

Page 414, vers 19 :

cotn VILLE l’aîné. Nagez dans les plaisirs, dans ces plaisirs honteux Qui nous laissent dans l’âme un vide épouvantable… Un vide… un repentir… un repentir durable. Oui, je renonce au monde après cet entretien, l’^t je ne vivrai plus qu’avec des gens de bien. Ou je vivrai tout seul, tout seul… avec mes livres. Loin de ces passions dont tant de cœurs sont ivres, Comme je vous l’ai dit. Et je préfère un trou, Un ermitage, un antre.

LE JEUNE GOUn VILLE.

Adieu, mon pauvre fou.

SCÈNE II.

GOURVILLE l’aîné.

Je pleure sur son sort ; et je vois avec peine Que sa mauvaise tête à sa perte l’entraîne. Qu’Épictète a raison ! qu’il peint bien à mon sens, etc.

Page 416, vers 13 :

Je suis maître de moi, je suis bon, juste, sage.

Page 418, vers 18 :

M. GARANT.

À la faire sortir a dû vous engager.

Déjà plus d’une fois ici ma conscience

Sur elle et votre frère eût rompu le silence ;

Mais j’ai cru vous devoir quelque ménagement.

Je n’en puis plus garder sur ce dérèglement.

GOURVILLE l’aîné.

Voilà donc la raison, etc.