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Page:Waldor - Charles Mandel, volume I, 1846.djvu/39

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- 31 - querais pas une poule de plus. Allons, laisse-moi, j’ai un compte à faire qui me rompt la tête, il faut que je l’achève. Poussant le jeune homme vers la porte, il allait la fermer sur lui, lorsque, frappé toutà coup du profond chagrin qui se peignait dans ses traits, il s’écria : — Et corbleu ! quel intérêt si grand as- tu donc à vouloir t’embarquer sur le Superbe ! est-ce qu’il n’y a pas d’autres bâtimens en rade ? — Oh ! oui, il y en a d’autres, répéta Charles en reprenant un vague espoir et en tenant la porte entrebâillée , mais je m’en occupe peu; ou je ne partirai pas, ou je partirai avec le Superbe. — - Et pourquoi cela, petit entêté ?