À genoux/Chant-04
Apparence
< À genoux
Alphonse Lemerre, (p. 141).
XXVIII
CHANT
Le vent des mers agonisant
Ce dernier soir me fit entendre
Une chanson tellement tendre,
Que j’en pleure encore à présent.
La chanson de la Bien Aimée
Que j’adorai tant autrefois
N’avait pas cette chère voix
Ni cette musique enflammée.
C’est pourquoi j’adore à présent
Par dessus toute autre musique
Le vent des mers mélancolique,
Le vent des mers agonisant !