Évangile de la naissance de Marie/Édition Garnier
Voici maintenant l’Évangile de la naissance de Marie, dont nous avons parlé, n° xxxi de la notice alphabétique.
I. —[2]La bienheureuse et glorieuse Marie toujours vierge, de la race royale et de la famille de David, naquit dans la ville de Nazareth, et fut élevée à Jérusalem, dans le temple du Seigneur. Son père se nommait Joachim, et sa mère Anne. La famille de son père était de Galilée, et de la ville de Nazareth. Celle de sa mère était de Bethléem. Leur vie était simple et juste devant le Seigneur, pieuse et irrépréhensible devant les hommes : car ayant partagé tout leur revenu en trois parts, ils dépensaient la première pour le temple et ses ministres ; la seconde, pour les pèlerins et les pauvres, et réservaient la troisième pour eux et leur famille. Ainsi, chéris de Dieu et des hommes, il y avait près de vingt ans qu’ils vivaient chez eux dans un chaste mariage sans avoir des enfants. Ils firent vœu, si Dieu leur en accordait un, de le consacrer au service du Seigneur ; et c’était dans ce dessein qu’à chaque fête de l’année ils avaient coutume d’aller au temple du Seigneur.
II. — Or il arriva que, comme la fête de la dédicace approchait, Joachim monta à Jérusalem avec quelques-uns de sa tribu. Le pontife Issachar se trouvait alors de fonction. Et lorsqu’il aperçut Joachim parmi les autres avec son oblation, il le rebuta et méprisa ses dons, en lui demandant comment, étant stérile, il avait le front de paraître parmi ceux qui ne l’étaient pas. Que, puisque Dieu l’avait jugé indigne d’avoir des enfants, il pouvait penser que ses dons n’étaient nullement dignes de Dieu : l’Écriture déclarant[3] « maudit celui qui n’a point engendré de mâle en Israël ». Il ajouta qu’il n’avait qu’à commencer d’abord par se laver de la tache de cette malédiction en ayant un enfant, et qu’ensuite il pourrait paraître devant le Seigneur avec ses oblations. Joachim, confus de ce reproche outrageant, se retira auprès des bergers qui étaient avec ses troupeaux dans ses pâturages : car il ne voulut pas revenir à la maison, de peur que ceux de sa tribu qui étaient avec lui ne lui fissent le même reproche outrageant qu’ils avaient entendu de la bouche du prêtre.
III. — Or, quand il y eut passé quelque temps, un jour qu’il était seul, l’ange du Seigneur s’apparut à lui avec une grande lumière. Cette vision l’ayant troublé, l’ange le rassura, en lui disant : Ne craignez point, Joachim, et ne vous troublez pas de me voir ; car je suis l’ange du Seigneur : il m’a envoyé vers vous pour vous annoncer que vos prières sont exaucées, et que vos aumônes sont montées jusqu’à lui. Car il a vu votre honte, et il a entendu le reproche de stérilité que vous avez essuyé injustement. Or, Dieu punit le péché et non la nature : c’est pourquoi lorsqu’il rend quelqu’un stérile, ce n’est que pour faire ensuite éclater ses merveilles, et montrer que l’enfant qui naît est un don de Dieu, et non pas le fruit d’une passion honteuse. Sara, la première mère de votre nation, ne fut-elle pas stérile jusqu’à l’âge de quatre-vingts ans[4] ? Et cependant, au dernier âge de la vieillesse, elle engendra Isaac, auquel la bénédiction de toutes les nations était promise. De même Rachel[5], si agréable au Seigneur et si fort aimée du saint homme Jacob, fut longtemps stérile ; et cependant elle engendra Joseph, qui devint le maître de l’Égypte, et le libérateur de plusieurs nations prêtes à mourir de faim. Lequel de vos chefs a été plus fort que Samson, ou plus saint que Samuel ? Et cependant ils eurent tous les deux des mères stériles[6]. Si donc la raison ne vous persuade point par mes paroles, croyez par l’effet que les conceptions longtemps différées, et les accouchements stériles, n’en sont d’ordinaire que plus merveilleux. Ainsi votre femme Anne vous enfantera une fille que vous nommerez Marie ; elle sera consacrée au Seigneur dès son enfance, comme vous en avez fait vœu, et elle sera remplie du Saint-Esprit, même dès le sein de sa mère[7]. Elle ne mangera ni ne boira rien d’impur, n’aura aucune société avec la populace du dehors ; mais sa conversation sera dans le temple du Seigneur, de peur qu’on ne puisse soupçonner ou dire quelque chose de désavantageux sur son compte. C’est pourquoi en avançant en âge, comme elle-même naîtra d’une mère stérile, de même cette vierge incomparable engendrera le fils du Très-Haut, qui sera appelé Jésus, sera le sauveur de toutes les nations, selon l’étymologie de ce nom[8]. Et voici le signe[9] que vous aurez des choses que je vous annonce. Lorsque vous arriverez à la porte d’or, qui est à Jérusalem, vous y trouverez votre épouse Anne qui viendra au-devant de vous, laquelle aura autant de joie de vous voir qu’elle avait eu d’inquiétude du délai de votre retour. Après ces paroles l’ange s’éloigna de lui.
IV. — Ensuite il apparut à Anne son épouse, disant : Ne craignez point, Anne, et ne pensez pas que ce que vous voyez soit un fantôme[10]. Car je suis ce même ange qui ai porté devant Dieu vos prières et vos aumônes[11] ; et maintenant je suis envoyé vers vous pour annoncer qu’il vous naîtra une fille, laquelle étant appelée Marie sera bénie sur toutes les femmes[12]. Elle sera pleine de la grâce du Seigneur. Aussitôt après sa naissance, elle restera trois ans dans la maison paternelle pour être sevrée ; après quoi elle ne sortira point du temple où elle sera comme engagée au service du Seigneur jusqu’à l’âge de raison ; enfin y servant Dieu nuit et jour par des jeûnes et des oraisons, elle s’abstiendra de tout ce qui est impur, ne connaîtra jamais d’homme ; mais seule sans exemple, sans tache, sans corruption, cette vierge, sans mélange d’homme, engendrera un fils ; cette servante enfantera le Seigneur, le Sauveur du monde par sa grâce, par son nom, et par son œuvre. C’est pourquoi levez-vous, allez à Jérusalem ; et lorsque vous serez arrivée à la porte d’or, ainsi nommée parce qu’elle est dorée, vous aurez pour signe au devant de vous votre mari dont l’état de la santé vous inquiète. Lors donc que ces choses seront arrivées, sachez que les choses que je vous annonce s’accompliront indubitablement.
V. — Suivant donc le commandement de l’ange, l’un et l’autre, partant du lieu où ils étaient, montèrent à Jérusalem ; et lorsqu’ils furent arrivés au lieu désigné par la prédiction de l’ange, ils s’y trouvèrent l’un au devant de l’autre. Alors, joyeux de leur vision mutuelle, et rassurés par la certitude de la lignée promise, ils rendirent grâces comme ils le devaient au Seigneur qui élève les humbles[13]. C’est pourquoi ayant adoré le Seigneur, ils retournèrent à la maison où ils attendaient avec assurance et avec joie la promesse divine. Anne conçut donc et accoucha d’une fille ; et, suivant le commandement de l’ange, ses parents l’appelaient Marie.
VI. — Et lorsque le terme de trois ans fut révolu, et que le temps de la sevrer fut accompli, ils amenèrent au temple du Seigneur cette vierge avec des oblations. Or, il y avait autour du temple quinze degrés à monter[14] selon les quinze psaumes des degrés. Car, parce que le temple était bâti sur une montagne, il fallait des degrés pour aller à l’autel de l’holocauste qui était par dehors. Les parents placèrent donc la petite bienheureuse vierge Marie sur le premier. Et comme ils quittaient les habits qu’ils avaient eus en chemin, et qu’ils en mettaient de plus beaux et de plus propres, selon l’usage, la vierge du Seigneur monta tous[15] les degrés un à un sans qu’on lui donnât la main pour la conduire ou la soutenir, de manière qu’en cela seul on eût pensé qu’elle était déjà d’un âge parfait. Car le Seigneur, dès l’enfance de sa vierge, opérait déjà quelque chose de grand, et faisait voir d’avance, par ce miracle, combien grands seraient les suivants. Ayant donc célébré le sacrifice selon la coutume de la loi[16], et accompli leur vœu, ils l’envoyèrent dans l’enclos du temple pour y être élevée avec les autres vierges ; et eux retournèrent à la maison.
VII. — Or la vierge du Seigneur, en avançant en âge, profitait en vertus, et suivant le Psalmiste[17], « son père et sa mère l’avaient délaissée ; mais le Seigneur prit soin d’elle ». Car tous les jours elle était fréquentée par les anges, tous les jours elle jouissait de la vision divine, qui la préservait de tous les maux et la comblait de tous les biens. C’est pourquoi elle vint à l’âge de quatorze ans sans que non-seulement les méchants pussent rien inventer de répréhensible en elle, mais tous les bons qui la connaissaient trouvaient sa vie et sa conversation dignes d’admiration. Alors le pontife[18] annonçait publiquement que les vierges que l’on élevait publiquement dans le temple, et qui avaient cet âge accompli, s’en retournassent à la maison pour se marier selon la coutume de la nation et la maturité de l’âge. Les autres ayant obéi à cet ordre avec empressement, la vierge du Seigneur, Marie, fut la seule qui s’excusa de le faire, disant que non-seulement ses parents l’avaient engagée au service du Seigneur, mais encore qu’elle avait voué au Seigneur sa virginité, qu’elle ne voulait jamais violer en habitant avec un homme. Le pontife, fort embarrassé, ne pensant pas qu’il fallût enfreindre son vœu, ce qui serait contre l’Écriture, qui dit : Vouez et rendez[19], ni s’ingérer d’introduire une coutume inusitée chez la nation, ordonna que tous les principaux de Jérusalem et des lieux voisins se trouvassent à la solennité qui approchait, afin qu’il pût savoir par leur conseil ce qu’il y avait à faire dans une chose si douteuse. Ce qui ayant été fait, l’avis de tous fut qu’il fallait consulter le Seigneur sur cela. Et tout le monde étant en oraison, le pontife, selon l’usage[20], se présenta pour consulter Dieu. Et sur-le-champ tous entendirent une voix qui sortit de l’oracle et du lieu du propitiatoire[21], qu’il fallait, suivant la prophétie d’Isaïe, chercher quelqu’un à qui cette vierge devait être recommandée et donnée en mariage. Car on sait qu’Isaïe dit[22] : Il sortira une verge de la racine de Jessé ; et de cette racine il s’élèvera une fleur sur laquelle se reposera l’esprit du Seigneur, l’esprit de sagesse et d’intelligence, l’esprit de conseil et de force, l’esprit de science et de piété ; et elle sera remplie de l’esprit de la crainte du Seigneur. Il prédit donc, selon cette prophétie, que tous ceux de la maison et de la famille de David qui seraient nubiles et non mariés n’avaient qu’à apporter leurs verges à l’autel, et que l’on devait recommander et donner la vierge en mariage à celui dont la verge, après avoir été apportée, produirait une fleur, et au sommet de laquelle l’esprit du Seigneur se reposerait en forme de colombe.
VIII. — Joseph, entre autres, de la maison et de la famille de David, était fort âgé, et tous portant leurs verges selon l’ordre, lui seul cacha la sienne. C’est pourquoi rien n’ayant apparu de conforme à la voix divine, le pontife pensa qu’il fallait derechef consulter Dieu, qui répondit que celui qui devait épouser la vierge était le seul de tous ceux qui avaient été désignés qui n’eût pas apporté sa verge. Ainsi Joseph fut découvert. Car lorsqu’il eut apporté sa verge, et qu’une colombe venant du ciel se fut reposée sur le sommet, il fut évident à tous que la vierge devait lui être donnée en mariage. Ayant donc célébré le droit[23] des noces selon la coutume, lui se retira dans la ville de Bethléem, pour arranger sa maison, et pourvoir aux choses nécessaires pour les noces. Mais la vierge du Seigneur, Marie, avec sept autres vierges de son âge, et sevrées avec elle, qu’elle avait reçues du prêtre, retourna en Galilée dans la maison de son père.
IX. — Or, en ces jours-là, c’est-à-dire au premier temps de son arrivée en Galilée, l’ange lui fut envoyé de Dieu pour lui raconter qu’elle concevrait le Seigneur, et lui expliquer principalement la manière et l’ordre de la conception. Enfin étant entré vers elle, il remplit la chambre où elle demeurait d’une grande lumière, et la saluant très-gracieusement, il lui dit : Je vous salue, Marie, vierge du Seigneur, très-agréable, vierge pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous ; vous êtes bénie par-dessus toutes les femmes, bénie par-dessus tous les hommes nés jusqu’à présent. Mais la vierge, qui connaissait déjà bien les visages des anges, et qui était accoutumée à la lumière céleste, ne fut point effrayée de voir un ange, ni étonnée de la grandeur de la lumière ; mais son seul discours la troubla, et elle commença à penser quelle pouvait être cette salutation si extraordinaire, ce qu’elle présageait, ou quelle fin elle devait avoir. L’ange divinement inspiré allant au-devant de cette pensée : Ne craignez point, dit-il, Marie, comme si je cachais par cette salutation quelque chose de contraire à votre chasteté. Car vous avez trouvé grâce devant le Seigneur, parce que vous avez choisi la chasteté. C’est pourquoi, étant vierge, vous concevrez sans péché et enfanterez un fils. Celui-là sera grand, parce qu’il dominera[24] depuis la mer jusqu’à la mer, et depuis le fleuve jusqu’aux extrémités de la terre. Et il sera appelé le fils du Très-Haut, parce qu’en naissant humble sur la terre il règne élevé dans le ciel. Et le Seigneur Dieu lui donnera le siége de David son père, et il régnera à jamais dans la maison de Jacob, et son règne n’aura point de fin. Il est lui-même le roi des rois[25], et le Seigneur des seigneurs ; et son trône[26] subsistera dans le siècle du siècle. La vierge crut à ces paroles de l’ange ; mais voulant savoir la manière, elle répondit : Comment cela pourra-t-il se faire ? car, puisque suivant mon vœu je ne connais jamais d’homme, comment pourrai-je enfanter sans l’accroissement de la semence de l’homme ? À cela l’ange lui dit : Ne comptez pas, Marie, que vous conceviez d’une manière humaine. Car sans mélange d’homme vous concevrez vierge, vous enfanterez vierge, vous nourrirez vierge. Car le Saint-Esprit surviendra en vous, et la vertu du Très-Haut vous couvrira de son ombre contre les ardeurs de l’impureté. C’est pourquoi ce qui naîtra de vous sera seul saint, parce que, seul conçu et né sans péché, il sera appelé le Fils de Dieu. Alors Marie, étendant les mains et levant les yeux au ciel, dit : Voici la servante du Seigneur (car je ne suis pas digne du nom de maîtresse), qu’il me soit fait selon votre parole.
(Il serait long, et même ennuyeux, de rapporter ici tout ce qui a précédé ou suivi la naissance du Seigneur. C’est pourquoi, passant ce qui se trouve plus au long dans l’Évangile, finissons par ce qui n’y est pas si détaillé. — Note du faux Jérôme auquel on attribue la traduction latine.)
X. — Joseph donc, venant de la Judée dans la Galilée, avait intention de prendre pour femme la vierge qu’il avait fiancée : car trois mois s’étaient déjà écoulés, et le quatrième approchait, depuis le temps qu’il l’avait fiancée. Cependant le ventre de la fiancée grossissant peu à peu, elle commença à se montrer enceinte, et cela ne put être caché à Joseph : car entrant vers la vierge plus librement comme époux, et parlant plus familièrement avec elle, il s’aperçut qu’elle était enceinte. C’est pourquoi il commença à avoir l’esprit agité et incertain, parce qu’il ignorait ce qu’il avait à faire de mieux : car il ne voulut point la dénoncer[27], parce qu’il était juste, ni la diffamer par le soupçon de fornication, parce qu’il était pieux ; c’est pourquoi il pensait à rompre son mariage secrètement, et à la renvoyer en cachette. Comme il avait ces pensées, voici que l’ange du Seigneur lui apparut en songe, disant : Joseph, fils de David, ne craignez point, c’est-à-dire n’ayez point de soupçon de fornication contre la vierge, ou ne pensez rien de désavantageux à son sujet, et ne craignez point de la prendre pour femme : car ce qui est né en elle, et qui tourmente actuellement votre esprit, est l’ouvrage non d’un homme, mais du Saint-Esprit ; car de toutes les vierges, elle seule enfantera le Fils de Dieu, et vous le nommerez Jésus, c’est-à-dire Sauveur ; car c’est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés. Joseph donc, suivant le précepte de l’ange, prit la vierge pour femme : cependant il ne la connut pas[28] ; mais en ayant soin chastement, il la garda ; et déjà le neuvième mois depuis la conception approchait, lorsque Joseph, ayant pris sa femme et les autres choses qui lui étaient nécessaires, s’en alla à la ville de Bethléem, d’où il était. Or il arriva, lorsqu’ils y furent, que les jours pour accoucher furent accomplis, et[29] elle enfanta son fils premier-né comme l’ont enseigné les saints Évangélistes, notre Seigneur Jésus-Christ, qui étant Dieu avec le Père, et le Fils, et l’Esprit-Saint, vit et règne pendant tous les siècles des siècles.
- ↑ Voyez ci-dessus, page 459, les nos xxix, xxx et xxxi.
- ↑ Les dix articles qu’on lit ici sont la traduction entière de la pièce telle que la rapporte Fabricius dans son Codex apocryphus Novi Testamenti. Il en est de même des vingt-cinq articles du Protévangile de Jacques, des sept de l’Évangile de l’enfance du Christ, des cinquante-cinq de l’Évangile de l’enfance, des trente-huit de l’Évangile de Nicodème, des Deux Lettres de Pilate, de la Relation du gouverneur Pilate, et de la Relation de Marcel. (B.)
- ↑ Isaïe, ch. iv, v. 1, ne maudit que la femme stérile. (Note de Voltaire.)
- ↑ La Genèse, ch. xvii, v. 17, lui donne alors quatre-vingt-dix ans. (Note de Voltaire.)
- ↑ Genes., ch. xxx, v. 23. (Id.)
- ↑ Jud., ch. xiii, v. 3 ; et i, Reg., ch. i, v. 20. (Id.)
- ↑ Luc, ch. i, v. 15. (Id.)
- ↑ Matth., ch. i, v. 21. (Id.)
- ↑ Luc, ch. ii, v. 12. (Id.)
- ↑ Matth., ch. xiv, v.. 26. (Note de Voltaire.)
- ↑ Tob., ch. xii, v. 15 ; Apocal., ch. viii, v. 3. (Id.)
- ↑ Luc, ch. i, vers. 42. (Id.)
- ↑ Luc, ch. i, v. 52. (Id.)
- ↑ Ézéchiel, ch. xl, v. 6, 34 et suiv. (Id.)
- ↑ La chose est rapportée un peu différemment, art. iv du Protévangile de Jacques. (Note de Voltaire.)
- ↑ I. Sam., ch. i, v. 25. (Id.)
- ↑ Ps. xxvi, v. 10. (Id.)
- ↑ Il est nommé Zacharie dans le Protévangile de Jacques. (Id.) — Voyez p.474.
- ↑ Ps. lxxv, v. 11. (Note de Voltaire.)
- ↑ Num., ch. xxvii, v. 21. (Note de Voltaire.)
- ↑ Num., ch. vii, v. 89. (Id.)
- ↑ Ch. xi, v. 1. (Id.)
- ↑ C’est-à-dire les fiançailles, dans lesquelles on écrivait le nom de l’époux et de l’épouse sur des tablettes dans une assemblée solennelle. (Philo. de leg. special., p. 608, édit. de Genève.) (Id.)
- ↑ Ps. lxxi, v. 8. (Note de Voltaire.)
- ↑ Deutéronome, ch. x, v. 17 ; et I., Timot., ch. vi, v. 15. (Id.)
- ↑ Ps. xliv, v. 7. (Id.)
- ↑ Matth., ch. i, v. 19. (Note de Voltaire.)
- ↑ Matth., i, v. 25. (Id.)
- ↑ Luc, ii, v. 6 et 7. (Id.)