Œuvres de Spinoza/Tome 2

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Œuvres de Spinoza
Traduction par Émile Saisset.
II
Œuvres de Spinoza, tome 2Charpentier.

ŒUVRES

DE SPINOZA

TRADUITES
PAR ÉMILE SAISSET
Élève et ancien maître de Conférences à l’École normale
PROFESSEUR D’HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE
AVEC UNE INTRODUCTION CRITIQUE
NOUVELLE ÉDITION
REVUE ET AUGMENTÉE

TOME II
Vie de Spinoza.
Notice bibliographique.
Traité théologico-politique.
Traité politique.
PARIS
CHARPENTIER, LIBRAIRE-ÉDITEUR
28, QUAI DE L’ÉCOLE

1861

TABLE.
 xli

Chap.   I. 
 15
 34
 71
V. 
Du véritable objet de l’institution des cérémonies religieuses ; de la croyance aux récits historiques, sous quel rapport elle est nécessaire, et a quelle sorte de personnes. 
 87
 103
VIII. 
On fait voir que le Pentateuque et les livres de Josué, des Juges, de Ruth, de Shamuel et des Rois, ne sont point authentiques ; on examine ensuite s’ils sont l’ouvrage de plusieurs ou d’un seul, et quel est cet unique écrivain. 
 153
IX. 
On fait quelques autres recherches touchant les mêmes livres, pour savoir notamment si Hezras y a mis la dernière main, et si les notes marginales qu’on trouve sur les manuscrits hébreux étaient des leçons différentes. 
 169
XII. 
Du véritable original de la loi divine, et pour quelle raison l’Écriture est appelée sainte et parole de Dieu ; on prouve ensuite qu’en tant qu’elle contient la parole de Dieu, elle est parvenue sans corruption jusqu’à nous. 
 210
XIII. 
On montre que l’Écriture n’enseigne que des choses fort simples, qu’elle n’exige que l’obéissance, et qu’elle n’enseigne sur la nature divine que ce que les hommes peuvent imiter en réglant leur vie suivant une certaine loi. 
 222
XV. 
Que la théologie n’est point la servante de la raison, ni la raison celle de la théologie ; pourquoi nous sommes persuadé de l’autorité de la sainte Écriture. 
 239
XVII. 
Qu’il n’est point nécessaire, ni même possible, que personne cède absolument tous ses droits au souverain. — De la république des Hébreux ; ce qu’elle fut du vivant de Moïse ; ce qu’elle fut après sa mort, avant l’élection des rois ; de son excellence ; enfin, des causes qui ont pu amener la ruine de cette république divine, et la livrer, durant son existence, à de perpétuelle séditions. 
 267
XIX. 
On établit que le droit de régler les choses sacrées appartient au souverain, et que le culte extérieur de la religion, pour être vraiment conforme à la volonté de Dieu, doit s’accorder avec la paix de l’État. 
 305

 349
Chap.   I. 
 351
 355
 382
 417
 464