inclus:
TABLE
Portrait d’Agrippa d’Aubigné d’après le tableau
de Bartholomæus Sarburgh [1590-?] (Musée de Bale).
LE PRINTEMPS
Fac-similé d’une page du manuscrit Monmerqué
- SONNETS :
I
Combattu des vents et des flots
II
Ronsard si tu as sçeu par tout le monde espandre
III
J’entreprens hardiment de te rendre éternelle
IV
L’amour pour me combattre a de vous emprunté
V
Je vis un jour un soldat terrassé
VI
Nous ferons ma Diane, un jardin fructueux
VII
Autant de fois que vostre esprit de grace
VIII
Si tost que vostre coche a peu ensemble avoir
IX
Je dispute pour vous contre ceste lignée
X
Guerre ouverte, et non point tant de subtilitez
XI
Tu m’avois demandé, mignonne
XII
Va-t’en dans le sein de ma mye
XIII
Vos yeux ont honoré d’une celeste veuë
XIV
Celuy qui voit comment je me paie de regretz
XV.
Mille baisers perdus, mille et mille faveurs
XVI.
Le jardinier curieux de ces fleurs
XVII.
Par ses yeux conquerans fut tristement ravie
XVIII.
Sort inique et cruel ! le triste laboureur
XIX.
Soupirs espars, sanglots en l’air perdus
XX.
Au tribunal d’amour, après mon dernier jour
- STANCES:
I.
O mes yeux abusez, espérance perdue
II.
Puisque le cors blessé, mollement estendu
III.
Pressé de desespoir, mes yeux flambans, je dresse
IV.
Pleurez avec moy, tendres fleurs
V.
Citadines des mons de Phocide, apportez
VI.
L’aer ne peut plus avoir de vens
VII.
Que de douceurs d’une douleur
VIII.
Vous dites que je suis muable
IX.
Ou va cest enchaisné avec ce brave port
XI.
Bon jour petit enfant ! Bon jour
XII.
Ce sont petits Amours, avortons de mes peines
- ODES :
I.
Ainsi l’amour et la Fortune
II.
Sous la tremblante courtine
III.
En voyant vostre beau, pourquoy n’ay je pas veu
IV.
Bergers qui pour un peu d’absence
VI.
Tes yeux vaincueurs et languissans
IX.
Que me sert cruellement belle
X.
Ce champis, je ne sçay comment
XI.
Mignonne, pourquoy donnes-tu
XII.
Invective d’impatience d’amour
LES TRAGIQUES
- MISÈRES :
Je n’escris plus les feux d’un amour inconnu .
Financiers, justiciers, qui opprime^ de Jaim .
Icy je veux sortir du gênerai discours . . .
Jadis nos %pis anciens, vrais pères et vrais ^is
Or laissons-là courir la pierre et le Cousteau .
- PRINCES :
Flatteurs, je vous en veux ; je commence par vous , . 83
Roys, que le vice noir asservit sous ses loix .... 90
xAigle né dans le haut des plus superbes aires .... 98
Un père, deux fois père, employa sa substance, . . . loi
- LES FEUX :
Le ’Printemps de VEglise et Veste sont passe:( . . ’ . . 1 10
- LES FERS :
Voicy venir le jour, jour que les destinées 116
- JUGEMENT :
’Baisse donc. Eternel, tes hauts deux pour descendre, , 128
Voici le grand Héraut d’une estrange nouvelle, ... 1 36
DISCOURS PAR STANCES
Discours par stances avec l’esprit du feu Roy, etc. . 147
MESLANGES
- POÉSIES DIVERSES :
Allusion des hirondelles 167
Complainte a sa dame .... « 169
Larmes pour Suzanne de Lezat 170
- SONNETS
I . . Veux-tu savoir qui peut faire la vie heureuse, . lyS
II. . Je fuis celle qui veult, je veux celle qui nye . . 173
III . Amour fut engendré du loisir vicieux .... 174
IV. . Vous souhaitte:^ un Imir imaginaire 176
V . . Extase 176
A M. DE Ronsard (vers faits à sei^e ans) 177
Chanson 178
Preparatip a la mort 179
- PIÈCES SATYRIQUES :
Ode 181
- SONNETS
I . . L’autheur trouva en passant par âgen ... 187
II . • Du PAON ET DU courtisan . l88
III . Huguenots, vous croieT^ qu’au doux sein de V Eglise, 189
IV. . Sonnet donné au Rot Charles IX 190
V . . Sonnet donné au Rot Charles neufviesme . . 191
VI. . François, honte de France, opprobre des François. 192
VII . Sardanapale n’eust de masle qu’une image ... 192
VIII. T>es monstres avorte^^, bastards de la Nature . . 193
Sur l*apotheose du Cardinal Boromé igb
Sur le jeu de la Passion 198
Sur Sainct Claude 199
[Contre la présence réelle]. . * 199
Sur les comportemens du duc de Guise 200
ÉPIGRAMMES
I . . Cette espine a poussé mainte fleur argentine . . 20 1
II. . Ce fili semé à Vavanture 201
III . Tu as choisis la Comtesse 202
IV. . Si quelque diable est véritable 202
PIÈCES INÉDITES
- STANCES :
I.
O vous plein de pitié, plaignez, pleurez ma perte
II.
Vous fleuves, vous rochers, vous antres effroyables
III.
Ha cueur infortuné, pauvre cueur misérable
IV.
Vertes foretz, verds prez, verds monds
V.
Me Jault-il tant souffrir
VI.
D’une chesne d’amour, l’amour me tient pris
VIII.
Ce n’est pas la musette ou le luth que j’accorde
- DIALOGUES :
II.
Nimphes qui des coulantes eaux
- SONNETS :
I.
Ce clair flambeau illuminant mes yeux
II.
O belle main unique en sa beauté