Apologie pour M. Barrès

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De Wrèlle
La Revue blancheTome 3 (série belge) (p. 159-167).


Apologie pour M. Barrès


Un homme plein de vertu, et qui ne me plairait peut-être pas s’il n’en avait pas tant…
PLATON (n’importe où)


Ma chère Diotime, qui est la plus doucement sage des jeunes femmes, m’a vu entre les mains « le Jardin de Bérénice », et il m’a dit : Je suis sûre que vous aimez ce livre à la folie. — « Sans doute, lui répondis-je : je n’en ai lu que le titre. Le titre est adorable, et peut-être n’irai-je pas plus loin. » — « Je l’entends fit-elle ; car je sais que vous avez acquis un peu de sagesse, mon cher enfant. »

Qui saura la douceur de l’accent de Diotime, lorsque je l’entends me nommer son enfant ? Elle est pleine de spéciales lumières : et, je l’avoue, Diotime a les plus charmants yeux d’espoir qui se réalise : c’est deux cœurs de chastes émeraudes qui y scintillent en palpitant : quelle adoration ne voudrait faire un ciel à ces petites étoiles en exil ? Ah ! je leur ai très humblement consacré la mienne : et, parfois, elle me fait la grâce de s’y arrêter… Ma chère Diotime sait tout par sympathie : elle est instruite de tout, parce qu’il n’est rien que son patient regard gracieusement ne comprenne, et je pense qu’elle n’eut pas besoin de me voir à la main « Le Jardin de Bérénice » pour savoir que je goûtais ce roman, — puisqu’elle sut aussi ce que la brochure jaune ne pouvait lui apprendre : comment je l’aimais. Diotime dont l’intuitive beauté suppléa à la sagesse qui me manque me prit gentiment la main entre les pures siennes, et, parmi les tendresses de son geste familier, m’initia délicieusement à bien des choses, que j’avais jusque-là souhaité ignorer toujours, — (ou ne plus ignorer, je ne me souviens pas : — mais qu’importe, et qu’en sais-je ?).

一 « Il convient que je vous fasse le mérite, me dit elle, d’aimer, sans l’avoir lu, le livre dernier de M. Barrès. Il est d’une mauvaise méthode de lire un récent ouvrage : cela pourrait gâter la belle idée qu’on s’est faite de l’auteur : et ne dut-il qu’y gagner, combien n’y perdrait-on-pas ? Les opinions coûtent trop à acquérir, pour n’être pas prudents à les engager dans les affreux steeple-chases des convictions éventuelles. Surtout, s’il est question, en ce roman, comme je l’ouïs conter, de politique, du sort des jeunes femmes, enfin de sociologie individuelle, toutes sciences des plus délicates. Sans doute. M. Barrès explique-t-il avec sincérité, comment, d’un profond dégoût de l’humanité, naît le désir de lui rendre visite et de la représenter. Que cette logique est équitable ! Le dégoût qui faiblit ne se retrempera-t-il toujours pas dans la fréquentation du tiers-état ! et la pitié, indispensable à toutes émotions un peu raffinées, n’est-il pas que le menu peuple pour l’alimenter ? C’en est la source naturelle, d’ailleurs sans morosité, que l’héréditaire misère de ceux qui ne réclament qu’un rien de ce qui leur est dû, pour que la franchise de leur bonheur fleurisse : les y aider, l’aimable jardinage ! Le bonheur populaire est le bourgeon, toujours formé, du printemps éternellement dispos de leur bonne humeur. Et j’aime à supposer qu’aux cultures de sa belle terre, M. Barrès a voulu ajouter celle moins intensive de ce simple brave champ…

« Je l’en louerai, même sans en être sûre, 一 ainsi que je veux tout louer en cet auteur. Mais, mon petit enfant, ne m’imitez point en cela : Vous n’avez pas encore la certitude imperturbable de ma naïveté. Tant qu’il vous reste une habitude de réflexion, ne l’admirez pas trop : cela vous perdrait dans son opinion, — et le perdrait dans la vôtre. Il faudrait que vous finissiez par en dire du mal. Hélas ! s’il en fallait penser !… Je connais votre subtilité de dédain, et la rareté (d’assez médiocre goût) de votre louange : vous ne vous pardonneriez pas de vous priver d’une des rares permissions que vous vous êtes accordée d’aimer. Pour moi, je n’ai plus rien à craindre, vous le savez, de mes prédilections. Je m’abandonne volontiers à celle-là. Je le sais glabre, railleur ; il a fort bien réussi, et, quant à lui, cela me fâche il a pourtant du talent. Je suis étonnée que le bruit m’en arrive : mais on parle beaucoup de M. Barrès : assurément il mérite mieux. En tout cas, il ne semble pas détester une certaine adulation : c’est un goût que je conçois, à condition qu’on s’en défende : surtout, si l’on se résigne à jouir de tout avec grâce, il ne serait pas adroit d’oublier la bonne opinion, C’est pourquoi il est fort bon qu’on affecte de trouver le suffrage du populaire appréciable. Quant à l’éloge qu’on fait de sa bonne mine, le premier devoir d’un aimable homme est de n’y pas être indifférent. Je m’imagine que M. Barrès s’y montre sensible : La ! Sinon, quelle impardonnable faute contre soi-même ! Le « il est gentil » des petites passantes n’est-ce pas la plus consolante des banalités ? Je voudrais l’avoir vu, — au moins en peinture : mais je ne pus m’en procurer un seul portrait. Mon regret est accru du souvenir qu’il me semble garder je ne sais d’où d’une image qu’en aurait peinte le jeune maître, M. Jacques Blanche : peut être m’abusé-je, — ou le suis-je, fort aisément par le désir que j’ai de toutes les œuvres de M. Blanche, assurément le plus admirable marieur de nuances expressives et d’harmonies de sentiments qui soit en France, depuis M. Renoir. Et qu’il me soit permis, puisque l’occasion m’est offerte de vous faire leçon, — je suis friande, vous savez, de toute pédagogie, — de prévenir que le génie de M. Whistler, où l’on a voulu réduire en élève M. Blanche, est d’un spécial à ce point inimitable, que s’il donnait de trop strictes leçons, l’on n’en pourrait prendre que des trop bizarres et des mauvaises.

« L’effort exemplaire à être ce qu’il est devenu, voilà pourtant la merveilleuse leçon que M. Barrès a enseignée à son temps, et qui, malgré son désir, ne se peut mettre, elle, en tableau pour les écoles. M. Barrès s’est manifesté ne rien devoir, enfin ! à la nature. Après les débordements d’hier de toutes les littératures naturelles, sa désinvolture a paru ressusciter, soudain, de nobles danses abolies : et le passepied, j’espère, remporte décidément ? Ma reconnaissance, — personnelle, il n’est que trop vrai, — à M. Barrès est d’avoir rendu inutile la grossièreté du génie. Il a eu celui de n’en avoir pas : or, c’est au temps, mon petit enfant, où tout le monde s’en accorde, de diverses sortes. Et vraiment le génie est devenu une bien sotte chose : sans compter qu’elle est un peu trop facultative aux parentés : le génie qu’on apporte en naissant messied à l’égalité d’un état-civil régulièrement tenu. Il vaut mieux être comme tout le monde, et ne tout devoir qu’à l’assiduité. J’ai vu beaucoup de jeunes gens qui furent les ébauches de M. Barrès, et ne vécurent pas. Or, selon moi, c’est une merveilleuse gloire, qu’être l’image décisive de ce qui ne fut, jusqu’à soi, qu’esquissé. En politique, ce genre de vertu consiste à être quelque temps empereur : et M. Barrès n’est-il pas celui de la jeunesse ? L’excellence des leçons qu’il prit, avant d’en offrir, est un autre singulier mérite : et n’oublie jamais les providentielles concordances de la mode des cols très raides et lustrés avec celle des effusions mystiques : (c’est le nom du plaisir à deux, en ce temps d’ailleurs positivement raisonnable, pour peu que l’un des adversaires s’estime un peu fin.)

« L’on admirera, — n’admire-t-on pas déjà ? — que M. Barrès, puisse selon ses promesses à sa propre félicité, faire de soi ce qu’il veut. Ah ! l’exemplaire moi qui va par tranches, et s’est découpé pour se multiplier ! Le bon Bernardin de Paul et Virginie, eût adoré là un notable spécimen des se contraindre le cœur, — et le retrouver, refait par quelque laps de repos au vert de ses tirés particuliers. Jamais ne l’abandonna, d’ailleurs, l’élégance de pouvoir être le contraire de ce qu’il parut : Snob seulement, cela est délicieux ne peut-il l’être. C’est ce qui rend sa politique, de toutes la plus sincère : n’a-t-il pas dû s’y dévouer pour se la prouver à soi-même ? Les autres ont feint de n’en être pas dupes : les bêtes ! ils ne pouvaient mieux témoigner le succès des franchises d’intention de M. Barrès. La manie de méfiance de nos machiavels ordinaires fera toujours le triomphe des simples. La naïveté de M. Barrès en tout, ne fut-elle pas charmante ? Celle, seule, de nos meilleurs esthéticiens peut être mise en balance : à chaque nouvel enthousiasme, il peut, comme ceux-ci, croire que « c’est arrivé, » et s’en féliciter, N’est-ce pas le délicieux spectacle qu’offre M. Bourget ? À ses émois périodiques à propos de corsets d’une soie un peu démodée, n’est-il pas trop évident qu’il n’en porta jamais ? Et qui l’en blâmerait ?

» Vraiment, il n’est jeune homme dont j’aimasse mieux le modèle. M. Barrès en présente un d’une perfection qu’on n’espérait plus, par des temps si incertains. Tout est à savoir en ne s’étonnant de rien ; il est séant de faire du bruit sans élever la voix. D’anciens principes n’ont pas cette politesse : il est, par exemple, assez niais de ne pas vouloir faire de bruit du tout.

» Si je n’étais femme et Diotime, qu’il me plairait être M. Barrès ! Il est au littéraire, l’arbitre du dandysme un peu automatique du temps, — et nul plus aisément ne porte l’uniforme de « struggle-life-guard » de La Propre Âme Reine, avec des fleurs nouvelles à la boutonnière : et, quelle délicatesse de laisser, hors le costume, tout le reste à faire, désormais, à l’imagination des jeunes femmes qui vous veulent quelque bien ! Voudriez-vous comparer notre dandy aux lamentables fantoches de Louis le philippe, en qui tout comme les pantalons, fut à pont… d’Avignon où tout le monde y passe ? L’on est plus réservé en ses distinctions, maintenant, qu’à l’époque d’où datent, hélas ! les transitions dont M. Clareie a donné d’inoubliables modèles au Temps, et que pratiquent encore les magazines illustrées.

« Puis, (cela n’en est pas une), M. Barrès, encore que plein de compassion autant que quiconque se respecte, l’a le mieux montré, par la part d’invention qu’il réserve de la sorte à la tendresse des jeunes femmes, en s’y dévouant le premier. Vous ne sauriez croire, mon enfant (vous, si pauvrement dégoûté de tout, sans être femme) ce que je l’en aime ! par là je lui suis, désormais, à toujours acquise. Je veux lui attribuer tous les mérites qu’il ne montrera peut-être pas, pour la grâce de ceux qu’il a montrés. Et sa façon d’admirer en outre, — qui est l’endroit où l’homme met le plus de naturel et de méthode, vous ne l’ignorez pas, — m’a fait de bien savoureux loisirs.

« M. Barrès s’est plu, aux froids derniers, à orner de quelque génie M. Papadiamantopoulo, plus admiré sous le nom de M. Jean Moréas, mais non moins admirable. C’est M. Moréas, l’amalgame du procédé de M. Mallarmé que nul brevet par malheur ne défend, à la vieille langue testamentaire de Villon pour exprimer les sentiments naïfs à dessein, ou archaïques selon recettes, qu’on voit en clair, exemple chez Verlaine, — et tous les baudelairiens, bonnes gens dont l’excellent appétit s’éplore en digestions solennelles, expansives, qu’eux-mêmes nomment mystiques. M. Barrès rencontra là une sérieuse mission ; il la consomme. Voici M. Papadiamantopoulo qui reçut des honneurs gazetiers et comme nécrologiques. Aux toasts et banquets, ce fut M. Barrès qui convoqua. Il se fut, sans doute, infiniment gardé de " home-ruler " ainsi pour Stéphane Mallarmé, — ou tel autre homme de génie, en était plus de deux. Non, certes, qu’il ne soit de cœur fort large, et dispendieux pour le génie des autres : Un égoïste ne saurait se priver de la générosité, qu’à son défaut l’objet, — sceptique objet de ses moindres enquêtes — s’accorderait sans retard lui-même. Mais M. Barrès n’est, du tout, un décadent : S’il entend M. Moréas c’est que M. Papadiamantopoulo lui explique, je pense, les motifs rares certes, de l’admirer ; nul inconvénient, dès lors, d’aider à l’essor notablement flatteur de ce merveilleux trouvère…… pour le cap Matapan.

« Aux causeries de ce festin où toastèrent tous ceux qui furent, où l’extraordinaire M. Mirbeau avéra sa brûlante manie de dévotement admirer tout ce qu’il a la candeur de louer sans entendre, charmant, M. Barrès avait confié, entre cigares,à je ne sais quel feuilleton dont il eut la patience de se laisser contempler, ce mot douloureux : « Que de mal pour établir une réputation ? — et pour si peu de temps !

« Ah ! fumée évangélique du sage cigare, sur laquelle est monté l’encens, si classique, de ce mot ! On n’est pas plus classique que M. Barrès » incomparable éloge, je crois et qu’il se décerne en son privé ; tout en aidant à la renommée contraire. Car il faut être honnête homme : en littérature seulement c’est être à la mode, — et, de plus, à celle de demain ; surtout si l’on compte que ce demain ne viendra jamais. Or le génie de M. Mallarmé est trop haut pour qu’un demain l’accueille. C’en est la fausse monnaie qu’on frappe, chacun pour soi, à des alois divers, et qu’on décrète, l’un pour l’autre, de cours forcé pour la durée d’un jeudi qui ne tombera jamais 4 fois dans même semaine.

« Mais quoi ? M. Barrès a fait à cet éphémère de son intimité les succès, qu’il est amical de lui avoir, une fois décentes comme une fleur de son jardin, à la promenade. On l’eût blâmé de l’anachronisme d’un mauvais vouloir : il pense trop en tout à la XVIIIe. Qu’il eut fait un baron de Ligne fort passable, quoique plutôt allemand que belge, s’il n’était pas venu à maturité. Un Abbé de Jouarre, qui tombât sur l’inquisition au ans révolutionnaires, et fut forcé d’être religieux pour n’être pas jacobin. Très abbé public et confit en l’incrédulité de la chartreuse parmesane où l’enseigna, par hasard, son maître Adolphe, il s’est fait une originalité non sans imprévu. Notre mi-partie Bernis et Constant eut un bon précepteur outre-rhénan, qui avait connu le père Kant, le Puits d’Impératif, où tous buveurs puisent et ramènent des seaux percés selon les règles. Ah ! qu’il fut sage d’être content du sien ! ainsi devint-il le très illustre métaphysicien de son : « rien, je ne crois qu’à mon rien. » Et quel Kantiste, d’une métaphysique n’extrait pas, d’abord, une très-pure, légitime et complète morale ? Or nul n’a été, en ce siècle, un murmureur de vraies morales galé en expérience au précieux M. Barrès. Qui mieux enseignerait l’économie philosophique ? Combien excellent, par dessus tout pour avoir montré à M. Ravaisson qu’on pouvait faire de bien meilleure métaphysique, qu’en peignant des feuilles de vigne en bleu sur les idées. M. Ravaisson, qui est à pleurer de monotonie, prétendait un jour qu’après lui il n’y avait, en matière transcendantale, que les élèves du baccalauréat avec…… leurs maîtres » — et, conclut-il avec raison, « c’est peu… » — Sans doute, mais l’honorable conservateur ignore-t-il qu’Aristote, au Tartare des philosophes, a dit, à Leibnitz qu’il avait de M. Ravaisson exactement la même opinion que celui-ci du reste de la Sorbonne ? — Je tiens la nouvelle de mon bien aimé Platon, qui commence à croire que les sages ont déchu depuis les temps de Pythagore, où ils se taisaient assidûment.

« Ha ! le doux jeux, l’acidulé passe temps qu’il dût prendre, M. Barrès, à ses retours de polir son rien du tout en Königsberg, quand il apprit les façons de Monsieur Renan, déjà avancé en sagesse. » Mais quoi, pensa-t-il avec dépit me voici donc, et depuis une ère prévenu ? Ô prismes de mes confidences, vos couleurs seraient connues ! » Il dut s’attacher équitablement à découvrir en ce vieil homme vénérable les petites niaiseries d’empâtement, petits calculs de l’Idée, — et cette gravelle d’importance qui, sur le tard, l’afflige. Quel grâcieux jour ce fut celui où M. Barrès s’aperçut qu’après tout, cet historien disait sans connaître le plaisir de n’en penser pas un mot, le sacerdoce de l’histoire ; et même de la naturelle ! Ah ! joie légitime, l’Ecclésiaste avait vécu dans la jeunesse de Béranger ! M. Barrès pouvait-il ne pas saisir, qu’en moquant les gargouilles de gravité de cette honorable cathédrale désaffectée, mais qui n’a pas tout-à-fait cessé d’être à des cultes, il élèverait sa chapelle neuve, — pour peu qu’il prit soin de prêter à son sage cœur classique des styles aux néologismes prudents et cette déférence envers les hérauts du neuf, n’est, à l’user, que respect pour des charmes oubliés mais anciens.

« Soyez ravi, mon cher enfant, comme je le suis, que l’éloge dont son élévation est aujourd’hui suivie, le vante à tort pour des vertus imaginaires : il nous est plus doux de le chérir pour les secrètes siennes, — et, sait-on la plus délicieuse, — maître aux modesties fastueuses, pour avoir été en ce temps le seul réel Monsieur Renan.

« Depuis que l’exquis professeur d’hébreu, qui si bien était parti pour assez mal finir, affirme savoir la langue qu’il enseigne, et même la syriaque, la chaldaïque, que sais-je, ô Socrate, la science d’aimer ! — depuis qu’il donne avis sur les civilisations à venir où les membres de l’Institut feront si digne figure, — et depuis, quel malheur ! — que ne voulant être Président de la République, il s’accommoderait en devenir le Pape au nom de la morale, — oh ! ne nous manquait-il pas sa prédication persuasive et dorée des Saints principes d’Impératif Fuyant, dont la leçon de nécessaire politesse est, en démocratie, si méritoire ?…

« Et vraiment, Monsieur Renan, — qu’il soit nommé ministre de la guerre, si l’on veut, — devrait bien, pour l’avoir retrouvé, en beaucoup mieux, obtenir de son aréopage le prochain prix Monthyon à l’agneau moral plus qu’il ne le fut soi-même, sûr de ne l’être de rien, et philosophique, à M. Maurice Barrès. On en ferait à Nanterre une bien agréable cérémonie, — surtout si cela doit, comme on l’assure, se terminer par un mariage. »

de Wrèlle.